Le scandale financier de la Société financière Antilles-Guyane à nouveau devant la Justice.Le procès s’est ouvert aujourd’hui (18 juin) au Tribunal de Grande Instance de Paris. Il s'agit de savoir ou sont passés des dizaines de millions d'euros.
Le scandale financier de la Société Financière Antilles-Guyane est à nouveau devant la Justice. Le procès s'est ouvert aujourd'hui (18 juin) devant le Tribunal de Grande Instance de Paris. Trente ans après le début de l’affaire, la société de prêt et l’Agence Française de Développement qui s’était portée à son secours, vont devoir s’expliquer sur les graves dysfonctionnements qui ont émaillé l’histoire douteuse de ces sociétés financières des Antilles.
Écoutez les explications de Tessa Graumann sur radio Martinique 1ère.
Les représentants de La SOFIAG – la Société Financière des Antilles Guyane - étaient venus aujourd'hui contester la compétence du Tribunal pour juger un scandale financier qui secoue la Guadeloupe et la Martinique depuis 25 ans. La décision du juge parisien sera connue le 9 juillet prochain. Même s'il donne raison à la Sofiag cela n'empêchera pas la tenue d'un procès à Paris d'ici la fin du 1er trimestre 2016 avec sur le banc des prévenus : l'Agence Française de Développement.
Des fonds volatilisés
Des dizaines de millions d'euros ont disparu. Certains auraient été perdus en bourse. Nombre de questions restent sans réponse. Les débats apporteront peut-être quelques éclaircissements particulièrement attendus sur ces sociétés financières qui étaient censées permettre une accélération du développement économique de nos régions.Écoutez les explications de Tessa Graumann sur radio Martinique 1ère.
procès sofiag
Les représentants de La SOFIAG – la Société Financière des Antilles Guyane - étaient venus aujourd'hui contester la compétence du Tribunal pour juger un scandale financier qui secoue la Guadeloupe et la Martinique depuis 25 ans. La décision du juge parisien sera connue le 9 juillet prochain. Même s'il donne raison à la Sofiag cela n'empêchera pas la tenue d'un procès à Paris d'ici la fin du 1er trimestre 2016 avec sur le banc des prévenus : l'Agence Française de Développement.