Lever le doigt pour intervenir en classe, échanger avec son professeur ou tout simplement avoir une bonne note engendrent parfois les pires pressions. Dans certains établissements, ceux qui réussissent font l'objet de brimades et de moqueries.
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Lever le doigt pour intervenir en classe, échanger avec son professeur ou tout simplement avoir une bonne note engendrent parfois les pires pressions. Dans certains établissements, ceux qui réussissent font l'objet de brimades et de moqueries. "Il ne faut pas être trop bon ou trop mauvais", estime une élève.
"Ce qui est nouveau, c'est l'ampleur du phénomène", explique Gérard Laguerre, président de l'UPEM (Union des parents d'élèves de Martinique). "Depuis les cinq dernières années, on constate une recrudescence du nombre de signalements au niveau de notre association de parents qui se plaignent de cette nouvelle forme d'harcèlement".
À (re)voir, le reportage de Karyne Baste-Régis et François Marlin :
Intervenant : Gérard Laguerre, président de l'UPEM (Union des parents d'élèves de Martinique)
"Ce qui est nouveau, c'est l'ampleur du phénomène", explique Gérard Laguerre, président de l'UPEM (Union des parents d'élèves de Martinique). "Depuis les cinq dernières années, on constate une recrudescence du nombre de signalements au niveau de notre association de parents qui se plaignent de cette nouvelle forme d'harcèlement".
À (re)voir, le reportage de Karyne Baste-Régis et François Marlin :
Intervenant : Gérard Laguerre, président de l'UPEM (Union des parents d'élèves de Martinique)