Le Gouvernement a annoncé, ce mercredi (18 novembre), que l'état de catastrophe naturelle est reconnu pour douze communes de la Martinique. Elles avaient été touchées par les intempéries le 6 novembre dernier.
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Le Gouvernement a annoncé, ce mercredi (18 novembre), que l'état de catastrophe naturelle est reconnu pour douze communes de la Martinique, qui avaient été touchées par les intempéries le 6 novembre dernier : Anses d’Arlet, Ducos, François, Marin, Rivière-Pilote, Rivière-Salée, Robert, Saint-Esprit, Sainte-Anne, Sainte-Luce, Trois-Ilets et Vauclin. Le Gros-Morne et le Diamant, qui avaient déposé des dossiers, doivent compléter leurs demandes.
Les arrêtés de catastrophe naturelle ont été signés et doivent être publiés au Journal Officiel. Une fois que ce sera fait, les sinistrés pourront demander à être indemnisés par leurs assurances. Ils ont dix jours après la parution de l'arrêté au Journal officiel. Ils devront fournir plusieurs documents : "un descriptif des dommages subis précisant leur nature ainsi qu'une liste chiffrée de tous les objets perdus ou endommagés accompagnée des documents permettant d'attester de l'existence et de la valeur des biens (factures, photographies par exemples)".
Par ailleurs, un fonds d'aide a également été débloqué pour répondre "aux situations d'urgences", indique la Préfecture dans un communiqué, pour un montant de 37 000 euros.
Dix jours pour faire une demande d'indemnisation
Les arrêtés de catastrophe naturelle ont été signés et doivent être publiés au Journal Officiel. Une fois que ce sera fait, les sinistrés pourront demander à être indemnisés par leurs assurances. Ils ont dix jours après la parution de l'arrêté au Journal officiel. Ils devront fournir plusieurs documents : "un descriptif des dommages subis précisant leur nature ainsi qu'une liste chiffrée de tous les objets perdus ou endommagés accompagnée des documents permettant d'attester de l'existence et de la valeur des biens (factures, photographies par exemples)". Par ailleurs, un fonds d'aide a également été débloqué pour répondre "aux situations d'urgences", indique la Préfecture dans un communiqué, pour un montant de 37 000 euros.