Deux adolescents de 16 et 13 ans se sont grièvement blessés hier après midi (24 décembre) avec des fusées de détresse. Ils ont chacun perdu un doigt. Le drame s'est déroulé à la résidence Garifuna au Marin. Les deux blessés ont été transportés par hélicoptère vers les urgences.
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Un réveillon à la Meynard. C'est là que deux adolescents originaires du Marin ont passé la nuit de Noël. Âgés de 16 et 13 ans, ils ont chacun eu un doigt arraché par l'explosion d'une fusée de détresse.
Hier en fin d'après midi (jeudi 24 décembre) à la résidence Garifuna, les deux mineurs s'amusaient avec un lot de fusée de détresse qu'ils auraient trouvé. Selon les services de secours, ils auraient tenté de modifier l'une des fusées de détresse avec de l'aluminium et de l'acide. Le dispositif artisanal aurait alors explosé, leur sectionnant chacun un doigt.
La gravité de leurs blessures a nécessité l'intervention de l'hélicoptère de la sécurité civile, le Dragon 972. Ils ont été héliportés vers les urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Martinique (C.H.U.M.) vers 18 h 25. Le plus jeune des deux a été pris en charge par les équipes de la Maison de la Femme de la Mère et de l'Enfant (M.F.M.E.), tandis que le plus âgé a été admis à l'hôtpital Pierre Zobda Quitman à Fort-de-France.
Selon nos informations, la gendarmerie du Marin pourrait ouvrir une enquête pour déterminer les circonstances de ce drame.
Hier en fin d'après midi (jeudi 24 décembre) à la résidence Garifuna, les deux mineurs s'amusaient avec un lot de fusée de détresse qu'ils auraient trouvé. Selon les services de secours, ils auraient tenté de modifier l'une des fusées de détresse avec de l'aluminium et de l'acide. Le dispositif artisanal aurait alors explosé, leur sectionnant chacun un doigt.
La gravité de leurs blessures a nécessité l'intervention de l'hélicoptère de la sécurité civile, le Dragon 972. Ils ont été héliportés vers les urgences du Centre Hospitalier Universitaire de Martinique (C.H.U.M.) vers 18 h 25. Le plus jeune des deux a été pris en charge par les équipes de la Maison de la Femme de la Mère et de l'Enfant (M.F.M.E.), tandis que le plus âgé a été admis à l'hôtpital Pierre Zobda Quitman à Fort-de-France.
Selon nos informations, la gendarmerie du Marin pourrait ouvrir une enquête pour déterminer les circonstances de ce drame.