La Ville de Sainte-Marie a commémoré le premier anniversaire de la mort de Clarissa Jean-Philippe. Une jeune samaritaine victime du terrorisme, âgée de 27 ans, assassinée dans l’exercice de ses fonctions, à Montrouge (Hauts-de-Seine) le 8 janvier 2015.
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Des officiels, des collégiens et la famille de Clarissa Jean-Philippe, rassemblés pour cet hommage à la jeune policière lâchement abattue par un terroriste le 8 janvier 2015 à Montrouge. "Qu’il me soit permis de dire, combien nous sommes attristés de sa disparition", déclare Bruno-Nestor Azérot, maire de Sainte-Marie et député du nord. Un hommage sobre dans cette commune où Clarissa a grandi.
Reportage : Stéphanie Octavia /Marc-François Calmo
Intervenants : Bruno-Nestor Azérot, député du nord et maire de Sainte-Marie, Michel Courcet, Policier municipal, Marie Jean-Philippe, mère de Clarissa
Plusieurs gerbes ont été déposées par des élèves puis le préfet et le maire de Sainte-Marie, sous les yeux émus de Marie Jean-Philippe et sa famille. "J’ai les jambes qui tremblent….c’est pas facile pour moi", avoue la maman, traumatisée à jamais.
"Je vais dire au Président que la France n’a rien fait pour moi en un an", poursuit-elle. Elle devrait en parler à François Hollande lors de l’hommage national prévu, en sa présence ce samedi (9 janvier) à Montrouge (Hauts de seine).
Reportage : Stéphanie Octavia /Marc-François Calmo
Intervenants : Bruno-Nestor Azérot, député du nord et maire de Sainte-Marie, Michel Courcet, Policier municipal, Marie Jean-Philippe, mère de Clarissa
Ce 8 janvier 2016, la ville de Sainte-Marie a rendu hommage à Clarissa Jean-Philippe, tuée par un terroriste, le 8 janvier 2015 à Montrouge (Hauts de seine)
Après le discours du maire, ce sont les élèves de deux classes de collèges de la ville qui ont exprimé leur solidarité à la maman de Clarissa, à travers des textes. L’hommage officiel s’est terminé au pied de la statue dédié à la jeune policière tuée.Plusieurs gerbes ont été déposées par des élèves puis le préfet et le maire de Sainte-Marie, sous les yeux émus de Marie Jean-Philippe et sa famille. "J’ai les jambes qui tremblent….c’est pas facile pour moi", avoue la maman, traumatisée à jamais.
"Je vais dire au Président que la France n’a rien fait pour moi en un an", poursuit-elle. Elle devrait en parler à François Hollande lors de l’hommage national prévu, en sa présence ce samedi (9 janvier) à Montrouge (Hauts de seine).