Qui peut préjuger de ce que sera 2017 ? Entre catastrophes annoncées et drames prévus, avons-nous des raisons d’espérer en l’avenir ?
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La santé, cette année encore, est le maître-mot des vœux de Nouvel An que nous adressons et recevons. Il s’ensuit généralement une phrase d’appui du genre : "Et tout le reste viendra après". Pourtant, là gît un paradoxe : nous n’avons jamais été aussi bien portants, aussi nombreux et vivant aussi longtemps, aussi bien soignés et aussi bien pris en charge. Et pourtant, notre santé est au coeur de nos préoccupations et de nos discussions.
Il est vrai que les sujets d’inquiétude ne manquent pas. En vrac : les conséquences, à brève échéance, de la pollution de l’air, de la mer, des rivières et des sols ; le développement des cancers, de la maladie d’Alzheimer ; le piteux état de nos hôpitaux publics, sur les plans financier, humain, matériel. A mesure que les conditions de vie de la population s’améliorent par rapport à ce qu’ont vécu nos parents et grands parents, notre santé semble se dégrader. Curieux phénomène. Ainsi donc, l’année commence sur une tonalité pessimiste.
Trêve de pessimisme, il est de bon ton de se souhaiter, collectivement, de recouvrer une meilleure santé, physique et nerveuse. Ou, plus prosaïquement, de ne pas la perdre, au vu de ce qui nous attend cette année. Et les sujets d’inquiétude ne manquent pas. En vrac : la hausse du prix des carburants et du gaz, des impôts locaux, de l’igname et du fruit à pain, la mise en vente des paquets anonymes de cigarettes, la banalisation du divorce, les interminables cancans de nos politiciens chéris, la possibilité de l’extrême-droite à l’Elysée.
En bref, une série de catastrophes. Mais, l’espace d’un cillement, soyons optimiste. J’abaisse la vitre teintée de ma voiture au moteur diesel (double handicap) et vous dit, en dépit de tout ce que nous entendons : "Bonne année !".
Il est vrai que les sujets d’inquiétude ne manquent pas. En vrac : les conséquences, à brève échéance, de la pollution de l’air, de la mer, des rivières et des sols ; le développement des cancers, de la maladie d’Alzheimer ; le piteux état de nos hôpitaux publics, sur les plans financier, humain, matériel. A mesure que les conditions de vie de la population s’améliorent par rapport à ce qu’ont vécu nos parents et grands parents, notre santé semble se dégrader. Curieux phénomène. Ainsi donc, l’année commence sur une tonalité pessimiste.
Trêve de pessimisme, il est de bon ton de se souhaiter, collectivement, de recouvrer une meilleure santé, physique et nerveuse. Ou, plus prosaïquement, de ne pas la perdre, au vu de ce qui nous attend cette année. Et les sujets d’inquiétude ne manquent pas. En vrac : la hausse du prix des carburants et du gaz, des impôts locaux, de l’igname et du fruit à pain, la mise en vente des paquets anonymes de cigarettes, la banalisation du divorce, les interminables cancans de nos politiciens chéris, la possibilité de l’extrême-droite à l’Elysée.
En bref, une série de catastrophes. Mais, l’espace d’un cillement, soyons optimiste. J’abaisse la vitre teintée de ma voiture au moteur diesel (double handicap) et vous dit, en dépit de tout ce que nous entendons : "Bonne année !".