Coup d’envoi de la 29e édition des Nuits Culturelles de Rivière-Pilote vendredi soir (27 juillet) avec de la danse sous le marché couvert de la commune. Une édition intitulée "An XXIX : Lakilti, Rasin’ pèp la".
De la danse, du théâtre et de la musique sont les arts forts de cette 29e édition des Nuits Culturelles de Rivière-Pilote.
Et les choses ont commencé dès vendredi soir (27 juillet) sous le marché couvert de la commune avec la "nuit de la danse". Contemporaine avec le hip-hop du groupe CRS (Citron Rhum Sucre), puis traditionnelle avec "Ranmasé sonjé", une chorégraphie signée par l'association AM4.
La manifestation, qui en est à sa 29e édition, est définitivement inscrite dans le calendrier déjà chargé des vacances.
Selon Geneviève Riga, attachée culturelle à l’OMPACSS (Office Municipale Pilotin d’Actions Culturelles, Sociales et Sportives) il s'agit surtout d'une volonté politique de la mairie. "On se dit que la culture est une arme, la culture c'est une façon "d'éduquer", d'apporter quelque chose au peuple, aux administrés. Donc on se doit de maintenir cette manifestation. On reste quand même ancré dans le patrimoine culturel. La culture, sé rasin pèp la, un peuple sans culture n'a pas de vie. C'est une façon de se rattacher à ses racines, à son histoire", insiste-t-elle.
L'évènement qui se tient 27 juillet au 10 août 2018 au marché couvert de la commune se poursuit avec la "nuit du théâtre" vendredi 3 août, puis la "nuit de la musique" vendredi 10 août.
Et les choses ont commencé dès vendredi soir (27 juillet) sous le marché couvert de la commune avec la "nuit de la danse". Contemporaine avec le hip-hop du groupe CRS (Citron Rhum Sucre), puis traditionnelle avec "Ranmasé sonjé", une chorégraphie signée par l'association AM4.
"An XXIX : Lakilti, Rasin’ pèp la"
La manifestation, qui en est à sa 29e édition, est définitivement inscrite dans le calendrier déjà chargé des vacances.
Selon Geneviève Riga, attachée culturelle à l’OMPACSS (Office Municipale Pilotin d’Actions Culturelles, Sociales et Sportives) il s'agit surtout d'une volonté politique de la mairie. "On se dit que la culture est une arme, la culture c'est une façon "d'éduquer", d'apporter quelque chose au peuple, aux administrés. Donc on se doit de maintenir cette manifestation. On reste quand même ancré dans le patrimoine culturel. La culture, sé rasin pèp la, un peuple sans culture n'a pas de vie. C'est une façon de se rattacher à ses racines, à son histoire", insiste-t-elle.
L'évènement qui se tient 27 juillet au 10 août 2018 au marché couvert de la commune se poursuit avec la "nuit du théâtre" vendredi 3 août, puis la "nuit de la musique" vendredi 10 août.
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