Ce mardi 8 mai, la France célèbre la fin de la Seconde Guerre mondiale et la capitulation de l'armée allemande en 1945. Au monument aux morts de Fort-de-France, le préfet et le commandant supérieur des forces armées ont présidé une cérémonie marquée par la présence et l’implication de jeunes.
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C’était une commémoration placée sous le signe de la jeunesse. Ce mardi 8 mai, face au monument aux morts de Fort-de-France, une soixantaine d’élèves de 3e des collèges de Saint-Joseph et de Places d’armes au Lamentin se sont impliqués dans le déroulement de la cérémonie.
"C'est très impressionnant de voir tous les militaires et tous ceux qui ont pu servir leur pays", affirme l'une des collégiennes.
Dans le cadre du travail sur le devoir de mémoire, ces collégiens ont contribué à valoriser le Lieutenant-Colonel Loza, un ancien combattant. "Ça rentre dans le cadre de nos cours d'enseignement moral et civique, donc on se prépare toute l'année et aujourd'hui comme pour un mariage, c'est le jour J et les préparatifs donnent cette belle fête-là", affirme Karine Germany, professeure d’histoire-géographie et d’EMC (Éducation Morale et Civique) au collège place d’armes 2.
Ils ont également chanté la Marseillaise pendant la minute de silence. Depuis 2003, les forces armées des Antilles et le rectorat associent systématiquement les scolaires aux cérémonies officielles. "Ces commémorations n'ont de sens que s'il y a des jeunes. Vous avez vu la Marseillaise, ils l’ont chanté de manière superbe. Je pense que pour tout le monde c'est vraiment un degré de satisfaction intéressant. Et en plus si vous remarqué bien, dans beaucoup de communes maintenant, il y a des jeunes aux commémorations. Et là je pense vraiment qu'on est sur la voie de la transmission des valeurs et de la mémoire", se félicite le Colonel Alain Tissier, référent éducation nationale des forces armées des Antilles.
Treize cadets de la défense étaient aussi présents à cette cérémonie. David-Emmanuel, 14 ans, était plutôt impressionné. "Ce n'est pas tout le temps que nous pouvons assister à cet évènement là, ça se passe une fois dans l'année, le 8 mai. Nous voyons d’anciens combattants, des personnes qu'on ne voit pas souvent".
Une cérémonie de la fête de la victoire du 8 mai 1945, qui marquera donc à coup sûr les esprits.
Une cérémonie qui marquera les esprits
Dans le cadre du travail sur le devoir de mémoire, ces collégiens ont contribué à valoriser le Lieutenant-Colonel Loza, un ancien combattant. "Ça rentre dans le cadre de nos cours d'enseignement moral et civique, donc on se prépare toute l'année et aujourd'hui comme pour un mariage, c'est le jour J et les préparatifs donnent cette belle fête-là", affirme Karine Germany, professeure d’histoire-géographie et d’EMC (Éducation Morale et Civique) au collège place d’armes 2.
Ils ont également chanté la Marseillaise pendant la minute de silence. Depuis 2003, les forces armées des Antilles et le rectorat associent systématiquement les scolaires aux cérémonies officielles. "Ces commémorations n'ont de sens que s'il y a des jeunes. Vous avez vu la Marseillaise, ils l’ont chanté de manière superbe. Je pense que pour tout le monde c'est vraiment un degré de satisfaction intéressant. Et en plus si vous remarqué bien, dans beaucoup de communes maintenant, il y a des jeunes aux commémorations. Et là je pense vraiment qu'on est sur la voie de la transmission des valeurs et de la mémoire", se félicite le Colonel Alain Tissier, référent éducation nationale des forces armées des Antilles.
Treize cadets de la défense étaient aussi présents à cette cérémonie. David-Emmanuel, 14 ans, était plutôt impressionné. "Ce n'est pas tout le temps que nous pouvons assister à cet évènement là, ça se passe une fois dans l'année, le 8 mai. Nous voyons d’anciens combattants, des personnes qu'on ne voit pas souvent".
Une cérémonie de la fête de la victoire du 8 mai 1945, qui marquera donc à coup sûr les esprits.