À Saint-Vincent et les Grenadines, malgré les interrogations des médias, les autorités n’ont fait aucune déclaration concernant la disparition du jet privé N337LR, de type Gulfstream G-lll, mis en service en 1981.
Aucune information n’a été divulguée concernant les recherches en mer effectuées par les gardes-côtes de Saint-Vincent et les Grenadines dans la zone où le contact avec l’avion a été perdu.
Selon nos informations, le pilote aurait volontairement coupé le transpondeur, un instrument de sécurité vital dans l'aéronautique.
Cet instrument sert principalement à l’identification de l’avion par les radars au sol, à connaître avec précision l’altitude de l’avion et de permettre aux aiguilleurs de proposer des manœuvres d’évitement au pilote s’il existe un risque de collision.
Les identités du pilote et des 3 passagers à bord de l'avion sont inconnues.
Un vol de tourisme ?
Le Gulfstream G-lll, un jet privé avec l’immatriculation N337LR, a décollé le vendredi 22 décembre 2023 à 14h27 de l’aéroport de Canouan (code CIW) dans les Grenadines avec 4 personnes à son bord.
Le Canouan, réputé pour ses hôtels de luxe, est fréquenté par les milliardaires du monde.
Selon les informations, les 3 passagers et le pilote, partaient pour une excursion touristique.
Les autorités de contrôle du trafic aérien à Saint-Vincent et les Grenadines ne posséderaient aucune information concernant le pilote.
Le plan de vol n'a pas été divulgué. L’avion devrait retourner à Canouan à 16h27.
L’appareil avait suffisamment de kérosène pour effectuer un vol d’une durée de 2 heures.
Le dernier contact a eu lieu à 14h33, six minutes après le décollage.
L’avion n’a pas émis de signal de détresse.
Les autorités à Barbade, Trinidad et Tobago, Sainte Lucie, la Grenade et la Martinique auraient été alertées.
Le jet privé, immatriculé N337LR de type Gulfstream G-lll avec 21 places a été photographié le 16 décembre 2023 à l’aéroport international Johan Adolf Pengel à Paramaribo, capitale du Suriname en Amérique du Sud.