Les accès du campus de Schoelcher sont libres, lundi 9 avril. Les cours reprennent en attendant une assemblée générale des étudiants prévue ce lundi à 11H 30. Une réunion qui décidera de la suite à donner à la mobilisation d'un collectif qui proteste contre le retour des professeurs du Ceregmia.
La reprise des cours était attendue et souhaitée, dans un conflit qui ne fait pas l'unanimité. Depuis plusieurs jours les cours sont perturbés et la situation se complique à quelques jours des examens.
Le collectif des étudiants qui mène le mouvement de protestation contre le retour des professeurs du Ceregmia, organise ce lundi 9 avril, une assemblée générale. Une réunion d'information pour les 4000 étudiants du campus et faire le point notamment sur les actions menées contre le retour des enseignants Éric Carpin, Kinvi Logossah et Fred Celimene sur le pôle de Martinique. Ces trois enseignants sont à Paris ce lundi devant le CNESER (Le Conseil National de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche).
La communauté universitaire est divisée par cette grève. Sept représentants légitimés par la communauté des étudiants ne soutiennent pas le conflit. Ils ont pris position et signé une motion demandant au président de l'université Eustase Janky, le retour de la sérénité sur le campus, et cela concerne surtout l'organisation des examens.
L'assemblée générale de ce lundi votera de la suite à donner à la grève. Les examens approchent, ils s'échelonnent de fin avril à fin mai, et c'est une nouvelle donne qui se précise sur le campus.
Décider de la suite à donner au mouvement
Le collectif des étudiants qui mène le mouvement de protestation contre le retour des professeurs du Ceregmia, organise ce lundi 9 avril, une assemblée générale. Une réunion d'information pour les 4000 étudiants du campus et faire le point notamment sur les actions menées contre le retour des enseignants Éric Carpin, Kinvi Logossah et Fred Celimene sur le pôle de Martinique. Ces trois enseignants sont à Paris ce lundi devant le CNESER (Le Conseil National de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche).
La communauté universitaire est divisée par cette grève. Sept représentants légitimés par la communauté des étudiants ne soutiennent pas le conflit. Ils ont pris position et signé une motion demandant au président de l'université Eustase Janky, le retour de la sérénité sur le campus, et cela concerne surtout l'organisation des examens.
L'assemblée générale de ce lundi votera de la suite à donner à la grève. Les examens approchent, ils s'échelonnent de fin avril à fin mai, et c'est une nouvelle donne qui se précise sur le campus.