Le bras de fer entre les syndicats de la CTM et le président du Conseil Exécutif prend une tournure judiciaire. Les syndicats sont assignés à comparaître vendredi 12 octobre devant le tribunal de Fort-de-France pour la levée des barrages. Aucune rencontre n'est prévue entre les deux partis.
Ils veulent une rencontre avec le président du Conseil Exécutif, ils obtiennent une assignation à comparaître devant le tribunal pour la levée des barrages.
Voilà la seule réponse obtenue par les syndicats Sadem-CGTM, UPCTM-UNSA et SGAFP de la CTM Mobilisés suite à la non-reconduction de 32 agents contractuels.
Ainsi, les trois syndicats sont convoqués vendredi 12 octobre à 9h30 au tribunal de grande instance de Fort-de-France.
La CGTM ne cache pas sa déception suite à cette comparution. Le syndicat s'est exprimé par communiqué intitulé "acte de décès du dialogue social". Les syndicats doivent également libérer les accès du centre administratif territorial de la Martinique, l'AFPA, le centre de démoustication ou encore l'hôtel de l'Assemblée à Fort-de-France.
Plusieurs sites de la collectivité bloqués depuis lundi (8 octobre).
Ils s'étaient déjà mobilisé cinq jours en septembre dernier avant de tout suspendre. Le dialogue social semble rompu entre les deux parties. Jusqu'à maintenant, aucune rencontre n'est prévue.
Voilà la seule réponse obtenue par les syndicats Sadem-CGTM, UPCTM-UNSA et SGAFP de la CTM Mobilisés suite à la non-reconduction de 32 agents contractuels.
Ainsi, les trois syndicats sont convoqués vendredi 12 octobre à 9h30 au tribunal de grande instance de Fort-de-France.
La CGTM ne cache pas sa déception suite à cette comparution. Le syndicat s'est exprimé par communiqué intitulé "acte de décès du dialogue social". Les syndicats doivent également libérer les accès du centre administratif territorial de la Martinique, l'AFPA, le centre de démoustication ou encore l'hôtel de l'Assemblée à Fort-de-France.
Plusieurs sites de la collectivité bloqués depuis lundi (8 octobre).
Ils s'étaient déjà mobilisé cinq jours en septembre dernier avant de tout suspendre. Le dialogue social semble rompu entre les deux parties. Jusqu'à maintenant, aucune rencontre n'est prévue.