Pas de bus à haut niveau de services, ni même de bus tout court, ce dimanche 11 novembre entre Fort-de-France, le Lamentin, Schoelcher et Saint-Joseph. Les chauffeurs dénoncent depuis hier (samedi 10 novembre 2018), le licenciement d'une salariée. La première réunion de négociation n'a rien donné.
Les négociations ont achoppé hier (samedi 10 novembre 2018) entre la direction de la CFTU (Compagnie Foyalaise de transports Urbains) et les représentants du personnel.
Les chauffeurs poursuivent leur mobilisation. Les deux parties campent sur leur position. L'origine du conflit est le licenciement d'une salariée. Cette mobilisation est intervenue, une nouvelle fois, sans informer les usagers, le samedi 10 novembre 2018.
Au deuxième jour du conflit, il n'y a toujours pas de bus à haut niveau de services, ni même de bus tout court, entre Fort-de-France, le Lamentin, Schoelcher et Saint-Joseph.
(Re)voir le reportage de Franck Edmond-Mariette et François Marlin
Les chauffeurs poursuivent leur mobilisation. Les deux parties campent sur leur position. L'origine du conflit est le licenciement d'une salariée. Cette mobilisation est intervenue, une nouvelle fois, sans informer les usagers, le samedi 10 novembre 2018.
Au deuxième jour du conflit, il n'y a toujours pas de bus à haut niveau de services, ni même de bus tout court, entre Fort-de-France, le Lamentin, Schoelcher et Saint-Joseph.
(Re)voir le reportage de Franck Edmond-Mariette et François Marlin
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