Le délai de 3 mois pour convoquer de nouvelles élections par la Préfecture est en cours à Basse-Pointe après la vague de démissions. En attendant l’officialisation d’une date par les ministères des Outre-mer et de l'Intérieur, les états-majors politiques se mobilisent.
Les élus d’opposition du Mouvement Pour le Progrès Démocratique et Social de Basse-Pointe, et leurs poursuivants sur la liste des dernières municipales, ont tous démissionné. La porte s’est donc ouverte pour un nouveau scrutin qui devrait intervenir avant le carnaval 2019 (mars).
La date précise n’est pas encore déterminée, mais d’ores et déjà, les candidats potentiels affûtent leurs arguments. En premier lieu, Marie-Thérèse Casimirius, la maire actuelle. Avec 5 adjoints sur 9 ayant démissionné, elle semble être en position de faiblesse. Après tout, ce sont les divergences au sein de son équipe qui ont amené à cette situation dans la commune du nord atlantique. Une brèche dans laquelle sont entrées toutes les oppositions de la commune.
On apprend, par une indiscrétion que des réunions se tiennent "hors du territoire pointois, afin de travailler sereinement". On y retrouve des élus démissionnaires de l’opposition, un président d’association sportive ayant déjà fait part publiquement de son intention "d’y aller", et encore cet illustre musicien de la commune, pourtant connu pour un ancrage plutôt à gauche. Tous convergeraient vers l’idée d’une liste d’union.
Ils seraient tous intimement convaincus, que partir en rangs dispersés serait synonyme de défaite assurée. À ce stade, la réunion "secrète" du dimanche 16 décembre 2018, à Ajoupa-Bouillon, ne permet pas de dégager une tête de liste. Ce n'était pas l'objectif.
Selon nos informations, la priorité est que chacun soit en mesure de convaincre désormais ses troupes de l’idée d'une liste d’union, face à un maire sortant (Marie-Thérèse Casimirius), qui peut s’appuyer sur une base électorale solide. La capacité de cette dernière à bâtir autour d’elle une équipe qui lui sera loyale sera un argument décisif lors de l'élection partielle à venir.
Au-delà de cette élection, il faut bien comprendre que la liste qui sortirait gagnante serait quasi assurée d’être reconduite en 2020. Là, est tout l’enjeu de cette municipale partielle pointoise.
La date précise n’est pas encore déterminée, mais d’ores et déjà, les candidats potentiels affûtent leurs arguments. En premier lieu, Marie-Thérèse Casimirius, la maire actuelle. Avec 5 adjoints sur 9 ayant démissionné, elle semble être en position de faiblesse. Après tout, ce sont les divergences au sein de son équipe qui ont amené à cette situation dans la commune du nord atlantique. Une brèche dans laquelle sont entrées toutes les oppositions de la commune.
Vers une liste d'union de toutes les oppositions
On apprend, par une indiscrétion que des réunions se tiennent "hors du territoire pointois, afin de travailler sereinement". On y retrouve des élus démissionnaires de l’opposition, un président d’association sportive ayant déjà fait part publiquement de son intention "d’y aller", et encore cet illustre musicien de la commune, pourtant connu pour un ancrage plutôt à gauche. Tous convergeraient vers l’idée d’une liste d’union.
Ils seraient tous intimement convaincus, que partir en rangs dispersés serait synonyme de défaite assurée. À ce stade, la réunion "secrète" du dimanche 16 décembre 2018, à Ajoupa-Bouillon, ne permet pas de dégager une tête de liste. Ce n'était pas l'objectif.
Un enjeu considérable
Selon nos informations, la priorité est que chacun soit en mesure de convaincre désormais ses troupes de l’idée d'une liste d’union, face à un maire sortant (Marie-Thérèse Casimirius), qui peut s’appuyer sur une base électorale solide. La capacité de cette dernière à bâtir autour d’elle une équipe qui lui sera loyale sera un argument décisif lors de l'élection partielle à venir.
Au-delà de cette élection, il faut bien comprendre que la liste qui sortirait gagnante serait quasi assurée d’être reconduite en 2020. Là, est tout l’enjeu de cette municipale partielle pointoise.