6e jour de blocage du transport interurbain dans les villes du centre. Les chauffeurs appliquent leur droit de retrait pour dénoncer non plus le licenciement d'une salariée pour faute grave, mais leur condition de travail.
Depuis samedi (10 novembre 2018), les chauffeurs de la CFTU (Compagnie Foyalaise des Transports Urbains), exercent leur droit de retrait. Et depuis, pas de bus sur le réseau des villes du Lamentin, Fort-de-France, Saint-Joseph et Schoelcher, ni de TCSP (Transport collectif en site propre), entre Lamentin et Fort-de-France.
Les contestataires expliquent maintenant que le mouvement n'est plus lié au licenciement d'une salariée pour faute grave, mais à leur condition de travail et à des anomalies dans le règlement intérieur.
D'autres revendications figurent dans un courrier adressé à la direction le 11 novembre dernier.
(Re)voir le reportage de Jannick Dulio et Stéphane Petit-Frère.
Les contestataires expliquent maintenant que le mouvement n'est plus lié au licenciement d'une salariée pour faute grave, mais à leur condition de travail et à des anomalies dans le règlement intérieur.
D'autres revendications figurent dans un courrier adressé à la direction le 11 novembre dernier.
(Re)voir le reportage de Jannick Dulio et Stéphane Petit-Frère.