Le carnaval se rapproche et les "bwadjak" circulent déjà dans les vidés de commune et de quartier. Certaines, en mauvais états, ne devraient même pas se retrouver sur nos routes hors de la période de carnaval. Les autorités sont très strictes sur cette question.
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Avant tout, répondons à une question toute simple : qu’est-ce qu'une "bwadjak" ? Initialement se sont de vieilles voitures prêtes pour la casse que l’on transforme, que l’on rénove.
Des voitures qui pour certaines n’ont pas de vitres, de portes, de ceintures de sécurité, de plaque d’immatriculation, et surtout avec un pot d’échappement crevé faisant beaucoup de bruit.
(Re)voir le défilé de "bwadjak" lors de la parade de Dillon à Fort-de-France : Parfois elles peuvent être dangereuses, et c'est pour cette raison que ce type de véhicule n’a pas de droit de circuler sur le réseau routier hors période carnavalesque.
Une bwadjak en mauvais état contrôlée par les services de police peut se retrouver directement à la fourrière. Le conducteur ne risque pas grand-chose, mais par contre le dernier propriétaire connu devra payer la facture qui peut être très salée puisque calculé au prorata du nombre d’infractions constaté sur le véhicule. En résumé les consignes très sont clairs, il est interdit de faire circuler une "bwadjak" hors période de carnaval et cela est toléré sous conditions d’assurance et de contrôle technique en règle pendant les jours gras.
Ainsi, les policiers souvent sollicités pour tapage nocturne à cause des "bwadjak" pourraient durcir le ton dans les prochains jours. À la suite d'une réunion entre la préfecture, les services de police, et la sécurité routière, les autorités ont déterminé une position à tenir face aux "bwadjak" qui circulent hors période de carnaval.
Voir le communiqué de la Préfecture :
Des voitures qui pour certaines n’ont pas de vitres, de portes, de ceintures de sécurité, de plaque d’immatriculation, et surtout avec un pot d’échappement crevé faisant beaucoup de bruit.
(Re)voir le défilé de "bwadjak" lors de la parade de Dillon à Fort-de-France : Parfois elles peuvent être dangereuses, et c'est pour cette raison que ce type de véhicule n’a pas de droit de circuler sur le réseau routier hors période carnavalesque.
Attention à la verbalisation
Une bwadjak en mauvais état contrôlée par les services de police peut se retrouver directement à la fourrière. Le conducteur ne risque pas grand-chose, mais par contre le dernier propriétaire connu devra payer la facture qui peut être très salée puisque calculé au prorata du nombre d’infractions constaté sur le véhicule. En résumé les consignes très sont clairs, il est interdit de faire circuler une "bwadjak" hors période de carnaval et cela est toléré sous conditions d’assurance et de contrôle technique en règle pendant les jours gras.
Ainsi, les policiers souvent sollicités pour tapage nocturne à cause des "bwadjak" pourraient durcir le ton dans les prochains jours. À la suite d'une réunion entre la préfecture, les services de police, et la sécurité routière, les autorités ont déterminé une position à tenir face aux "bwadjak" qui circulent hors période de carnaval.
Voir le communiqué de la Préfecture :