Dans le cadre de l’opération "Grandes vacances au Musée" de ce mois d’août, le musée de la Pagerie aux Trois-Îlets organise des ateliers de travail sur la calebasse, ouverts aux petits et grands.
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Dans une salle aménagée pour l'occasion, ils sont une bonne douzaine d’adultes à écouter les conseils de l'animateur Robert Babin, un amoureux du travail de la calebasse.
Les stagiaires sont essentiellement des femmes particulièrement intéressées par le travail de cette matière particulière. Sous leurs doigts, la matière devient luminaires ou bijoux. La calebasse est également utilisée comme support pour des dessins gravés ou sculptés.
Un travail fascinant, pour Gabrielle, une institutrice qui vient de Sainte-Anne. "Il y a un calebassier dans mon école. Je voulais pouvoir faire des objets avec les calebasses de mon école", affirme-t-elle. Elle voudrait pouvoir en parler à ses élèves, à la rentrée de septembre. "Je suis là depuis le début et je me suis déjà même inscrite pour l'année prochaine", ajoute cette grande fan de l'activité.
Selon Rachel Desportes, la responsable des ateliers du musée des Trois-Îlets, ces ateliers manuels et particulièrement celui sur la calebasse est "un vrai succès".
"C’est celui qui est le plus demandé. Tout le monde veut participer à l'atelier calebasse. Je reçois des appels tous les jours pour réserver, mais malheureusement on ne peut pas prendre tout le monde. En plus, c'est un atelier très créatif et assez local puisque c'est la décoration de la calebasse donc ça plaît beaucoup. C'est manuel, créatif et en plus de ça, les stagiaires peuvent ramener l'objet de décoration chez eux", insiste-t-elle. Passionné de patrimoine et autodidacte, Robert Babin anime cet atelier depuis juillet parce qu'il souhaite transmettre son savoir, et pas uniquement depuis son atelier de Bellefontaine. Contacté par la responsable du site, il n’a pas hésité à venir "accompagner les stagiaires, sans leur imposer quoi que ce soit".
Ainsi, il leur apprend comment trouver l’inspiration, avec par exemple, comme conseil de "regarder les nuages en sortant de l’atelier si rien ne fonctionne". Il ne veut rien dicter si ce n’est le maniement des outils. "Je n'essaye pas de leur apprendre à faire, je veux juste qu'ils sachent travailler avec la machine. Et après je leur dis de mettre leur cœur dans ce qu'ils veulent créer", nous dit-il avec philosophie.
En l’espace de quelques séances, il peut regarder très fièrement, les premières productions de ses élèves. Mission accomplie.
Un travail fascinant, pour Gabrielle, une institutrice qui vient de Sainte-Anne. "Il y a un calebassier dans mon école. Je voulais pouvoir faire des objets avec les calebasses de mon école", affirme-t-elle. Elle voudrait pouvoir en parler à ses élèves, à la rentrée de septembre. "Je suis là depuis le début et je me suis déjà même inscrite pour l'année prochaine", ajoute cette grande fan de l'activité.
Tout le monde veut participer à l'atelier calebasse. Je reçois des appels tous les jours pour réserver
Selon Rachel Desportes, la responsable des ateliers du musée des Trois-Îlets, ces ateliers manuels et particulièrement celui sur la calebasse est "un vrai succès".
"C’est celui qui est le plus demandé. Tout le monde veut participer à l'atelier calebasse. Je reçois des appels tous les jours pour réserver, mais malheureusement on ne peut pas prendre tout le monde. En plus, c'est un atelier très créatif et assez local puisque c'est la décoration de la calebasse donc ça plaît beaucoup. C'est manuel, créatif et en plus de ça, les stagiaires peuvent ramener l'objet de décoration chez eux", insiste-t-elle. Passionné de patrimoine et autodidacte, Robert Babin anime cet atelier depuis juillet parce qu'il souhaite transmettre son savoir, et pas uniquement depuis son atelier de Bellefontaine. Contacté par la responsable du site, il n’a pas hésité à venir "accompagner les stagiaires, sans leur imposer quoi que ce soit".
Ainsi, il leur apprend comment trouver l’inspiration, avec par exemple, comme conseil de "regarder les nuages en sortant de l’atelier si rien ne fonctionne". Il ne veut rien dicter si ce n’est le maniement des outils. "Je n'essaye pas de leur apprendre à faire, je veux juste qu'ils sachent travailler avec la machine. Et après je leur dis de mettre leur cœur dans ce qu'ils veulent créer", nous dit-il avec philosophie.
En l’espace de quelques séances, il peut regarder très fièrement, les premières productions de ses élèves. Mission accomplie.