Les candidats à la mairie de Basse-Pointe pourront se faire connaître officiellement entre les 18 et 21 février 2019, en Sous-Préfecture de Trinité. La campagne pour le premier tour se fera entre le 25 février et le 9 mars pour un scrutin dont le premier tour est fixé au 10 mars.
Il se confirme bien que deux listes seront en lice pour les élections des 10 et 17 mars, à Basse-Pointe.
Celle de Marie-Thérèse Casimirius, maire sortante et celle de Patrick Marielo qui a endossé le costume d'opposant avec le soutien d'André Charpentier, ancien premier magistrat de la commune.
Sous la bannière "Ensemble pour réussir Basse-Pointe", il multiplie les réunions alors que le dépôt des listes en sous-préfecture se fera à partir du 18 février. Un Patrick Marielo qui semble confiant, sûr de lui, et qui ne se soucie que d'une chose : choisir une liste de 23 personnes. Un choix délicat dit-il, car il affirme disposer d'une quarantaine de noms.
Car ce sera là une des particularité de la municipale pointoise : le conseil municipal passera de 27 à 23 noms du fait de la baisse de la population.
300 personnes environ ont quitté Basse-Pointe pour des communes plus attractives comme le Lorrain et Ajoupa Bouillon où des logements sociaux ont été construits. Le manque d'attractivité de la commune et la qualité de vie qu'on n'y trouve plus à cause de la fermeture de services, sont d'ailleurs des arguments de la campagne de Patrick Marielo.
De son coté, Marie-Thérèse Casimirius que l'on pouvait imaginer en difficulté suite au départ de plusieurs de ses conseillers, dont des adjoints, affirme s'être refait une santé.
Elle réunit son staff de la Dynamique Pointoise régulièrement. Elle rencontre le public au moins une fois par semaine, en attendant la campagne officielle. Ce vendredi 8 février, elle devrait recevoir le soutien de Serge Letchimy, président du Parti Progressiste Martiniquais et celui de la sénatrice Catherine Conconne. Autant de rencontre nous souligne-t-elle, qui sont l'occasion de démontrer au pointois qu'"elle est venue servir, et pas se servir. La population s'en est rendu compte. Une preuve qu'elle n'a rien à redouter".
Enfin, une autre donne à prendre en considération. Outre Marie-Thérèse Casimirius et Patrick Marielo, un autre groupe, nous rapporte-t-on, prépare 2020. Il s'agirait de personnes plutôt décues d'avoir vu André Charpentier démissionner de la marie avec son groupe d'opposition afin de provoquer des élections, et finalement s'effacer au profit d'un autre. Ceux là prendraient donc leur temps et s'arment pour les élections de l'an prochain, quelque soit le vainqueur du mois de mars. Mais d'ici là, beaucoup d'eau aura coulé sous les ponts
Celle de Marie-Thérèse Casimirius, maire sortante et celle de Patrick Marielo qui a endossé le costume d'opposant avec le soutien d'André Charpentier, ancien premier magistrat de la commune.
Deux candidats pour une commune
Sous la bannière "Ensemble pour réussir Basse-Pointe", il multiplie les réunions alors que le dépôt des listes en sous-préfecture se fera à partir du 18 février. Un Patrick Marielo qui semble confiant, sûr de lui, et qui ne se soucie que d'une chose : choisir une liste de 23 personnes. Un choix délicat dit-il, car il affirme disposer d'une quarantaine de noms.
Car ce sera là une des particularité de la municipale pointoise : le conseil municipal passera de 27 à 23 noms du fait de la baisse de la population.
300 personnes environ ont quitté Basse-Pointe pour des communes plus attractives comme le Lorrain et Ajoupa Bouillon où des logements sociaux ont été construits. Le manque d'attractivité de la commune et la qualité de vie qu'on n'y trouve plus à cause de la fermeture de services, sont d'ailleurs des arguments de la campagne de Patrick Marielo.
De son coté, Marie-Thérèse Casimirius que l'on pouvait imaginer en difficulté suite au départ de plusieurs de ses conseillers, dont des adjoints, affirme s'être refait une santé.
Elle réunit son staff de la Dynamique Pointoise régulièrement. Elle rencontre le public au moins une fois par semaine, en attendant la campagne officielle. Ce vendredi 8 février, elle devrait recevoir le soutien de Serge Letchimy, président du Parti Progressiste Martiniquais et celui de la sénatrice Catherine Conconne. Autant de rencontre nous souligne-t-elle, qui sont l'occasion de démontrer au pointois qu'"elle est venue servir, et pas se servir. La population s'en est rendu compte. Une preuve qu'elle n'a rien à redouter".
Enfin, une autre donne à prendre en considération. Outre Marie-Thérèse Casimirius et Patrick Marielo, un autre groupe, nous rapporte-t-on, prépare 2020. Il s'agirait de personnes plutôt décues d'avoir vu André Charpentier démissionner de la marie avec son groupe d'opposition afin de provoquer des élections, et finalement s'effacer au profit d'un autre. Ceux là prendraient donc leur temps et s'arment pour les élections de l'an prochain, quelque soit le vainqueur du mois de mars. Mais d'ici là, beaucoup d'eau aura coulé sous les ponts