Christian Valard s’est éteint cet après-midi (mercredi 31 octobre 2018), à l’âge de 66 ans. Une nouvelle qui a frappé la commune du Saint-Esprit, tant il était connu pour son implication dans le milieu du sport, et notamment du judo.
Christian Valard avait débuté sa longue carrière de judoka en 1968, en tant qu’élève dans le club Shin Ghi Tai, situé à ce jour, sous l’actuelle école élémentaire mixte B de la commune du Saint-Esprit. Le Shin Ghi Tai qui par la suite a essaimé à Trinité d’abord, en 1993, puis à Ducos en 2000. Des clubs gérés systématiquement par des élèves qu’il avait lui-même formé.
Ceinture noire, 4e dan, il ne s’est pas contenté de son école du Saint-Esprit, il a aussi tenu les rênes de la discipline, en étant à la tête de la ligue entre 1989 et 1992. Tourné vers la formation et aussi vers la Caraïbe, c’est un passionné du sport et de la jeunesse. Il inculquait les valeurs de discipline, la technique, la rigueur. Sa touche à lui : la pure tradition du judo japonais, qu’il transmettait aux nombreux professeurs qu’il formait également.
Christian Valard était un ancien cadre de la Caisse Générale de Sécurité Sociale. Il s’était essayé à la politique en tant que candidat aux municipales et aux cantonales sous les couleurs de son Mouvement Progressiste Spiritain.
La nouvelle de sa disparition a suscité une véritable onde de choc dans la commune et dans le milieu sportif martiniquais. Alfred Cephise, l’actuel président de la ligue de Judo parle "d’un vide désormais dans la discipline". Fred-Michel Tirault, le maire du Saint-Esprit, évoque "un véritable coup de tonnerre".
Christian Valard était impliqué dans plusieurs associations, comme par exemple, le Rêve des Coulisses, dans l’animation et dans les activités récréatives et de loisirs.
Ceinture noire, 4e dan, il ne s’est pas contenté de son école du Saint-Esprit, il a aussi tenu les rênes de la discipline, en étant à la tête de la ligue entre 1989 et 1992. Tourné vers la formation et aussi vers la Caraïbe, c’est un passionné du sport et de la jeunesse. Il inculquait les valeurs de discipline, la technique, la rigueur. Sa touche à lui : la pure tradition du judo japonais, qu’il transmettait aux nombreux professeurs qu’il formait également.
Onde de choc au Saint-Esprit
Christian Valard était un ancien cadre de la Caisse Générale de Sécurité Sociale. Il s’était essayé à la politique en tant que candidat aux municipales et aux cantonales sous les couleurs de son Mouvement Progressiste Spiritain.
La nouvelle de sa disparition a suscité une véritable onde de choc dans la commune et dans le milieu sportif martiniquais. Alfred Cephise, l’actuel président de la ligue de Judo parle "d’un vide désormais dans la discipline". Fred-Michel Tirault, le maire du Saint-Esprit, évoque "un véritable coup de tonnerre".
Christian Valard était impliqué dans plusieurs associations, comme par exemple, le Rêve des Coulisses, dans l’animation et dans les activités récréatives et de loisirs.