Le sommet exceptionnel sur le climat convoqué en urgence à New York par le secrétaire général de l’ONU se termine lundi 23 septembre 2019. Il s’est tenu en même temps que des dizaines de marches citoyennes à travers le monde.
Désormais, nul n’ignore plus que notre île, minuscule dans le vaste océan, est fortement impactée par les modifications du climat générées par l’activité humaine. La montée des océans provoque l’érosion du littoral. La hausse de la température menace la survie d’espèces animales et végétales fragiles. L’augmentation de la virulence des ouragans se traduit par de lourdes catastrophes humaines et économiques.
Chacun est désormais conscient que le moindre de nos gestes contribue à la détérioration ou à la préservation du patrimoine naturel commun à l’humanité. Les jeunes, un peu partout dans le monde, donnent à leurs parents une leçon de lucidité et de courage. Ils se disent victimes de notre mode de vie. Et nul n’ose contester leur jugement.
Que pouvons-nous faire pour sauver la planète et l’humanité ? Déjà, ne pas tout attendre des autorités. Les dirigeants ne peuvent pas tout. Il nous faut également adopter des gestes simples, visant à réduire notre consommation effrénée des ressources de la terre, de la mer et du sous-sol. Le pari est à la hauteur de l’enjeu. Nous devons revoir la construction de notre mode de vie, en somme.
Toutefois, les décisions les plus importantes sont du ressort des Etats. Ce qu’a bien compris le secrétaire général de l’ONU. Antonio Guterres a convoqué les dirigeants du monde à un sommet exceptionnel sur le climat, en urgence. Ils étaient supposés y venir avec des solutions concrètes contre le dérèglement climatique à mettre en œuvre dans leurs pays. Il y a de bonnes raisons d’être sceptiques, tant nos gouvernements sont frileux en la matière.
Le temps des discours est passé. Le temps de la réflexion aussi, car nous savons ce qu’il ne faut plus faire. Le temps de l’action, dorénavant, est celui de la révolution, pacifique et universelle, pour un nouveau climat et un nouveau monde.
Chacun est désormais conscient que le moindre de nos gestes contribue à la détérioration ou à la préservation du patrimoine naturel commun à l’humanité. Les jeunes, un peu partout dans le monde, donnent à leurs parents une leçon de lucidité et de courage. Ils se disent victimes de notre mode de vie. Et nul n’ose contester leur jugement.
Depuis un siècle, nous n’avons en effet jamais pensé à économiser les ressources de la planète. Nous les avons toujours gaspillées tant que nous pouvions. Nous sommes tributaires de la croyance selon laquelle le bonheur et la richesse viennent de la consommation. Du moins, en occident et plus largement, dans les pays les plus riches." Comment osez-vous détourner le regard et venir ici dire que vous en faites assez ?"
— Brut nature FR (@brutnaturefr) September 23, 2019
Le discours furieux de Greta Thunberg au nom de la jeunesse face à l’ONU. pic.twitter.com/xxy0vcwU0d
Nous payons notre gaspillage des ressources de la planète
Que pouvons-nous faire pour sauver la planète et l’humanité ? Déjà, ne pas tout attendre des autorités. Les dirigeants ne peuvent pas tout. Il nous faut également adopter des gestes simples, visant à réduire notre consommation effrénée des ressources de la terre, de la mer et du sous-sol. Le pari est à la hauteur de l’enjeu. Nous devons revoir la construction de notre mode de vie, en somme.
Toutefois, les décisions les plus importantes sont du ressort des Etats. Ce qu’a bien compris le secrétaire général de l’ONU. Antonio Guterres a convoqué les dirigeants du monde à un sommet exceptionnel sur le climat, en urgence. Ils étaient supposés y venir avec des solutions concrètes contre le dérèglement climatique à mettre en œuvre dans leurs pays. Il y a de bonnes raisons d’être sceptiques, tant nos gouvernements sont frileux en la matière.
Le temps des discours est passé. Le temps de la réflexion aussi, car nous savons ce qu’il ne faut plus faire. Le temps de l’action, dorénavant, est celui de la révolution, pacifique et universelle, pour un nouveau climat et un nouveau monde.