Le collectif "doubout pou réparasyon" est né pour défendre les intérêts des salariés agricoles empoisonnés par les pesticides. Le collectif rencontre le public et la presse ce dimanche 16 février 2020. Son objectif premier est d'obtenir une indemnisation pour les ouvriers malades.
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C'est ce dimanche 16 février 2020 que le collectif "doubout pou réparasyon" verra officiellement le jour au Robert.
Composé d'ouvriers agricoles contaminés dans les champs de bananes notamment par les pesticides tel que la chlordécone entre 1970 et 1990, ces derniers sont des centaines à réclamer aujourd'hui réparation via des indemnisations, tandis que d'autres sont décédés.
Yvon Cérélus, ex ouvrier agricole et porte-parole du groupe, "on ne peut laisser de tels agissements impunis".
"Doubout pou réparasyon" espère rallier un maximum de forces vives pour défendre sa cause. Constitué il y a près de 3 semaines, ce collectif a déjà entamé des démarches auprès de certains politiques.
David Macaire, l’archevêque de Saint-Pierre et Fort-de-France en Martinique, a d'ailleurs rencontré ses membres récemment, pour mieux comprendre leur réalité et leurs motivations.
Le collectif "doubout pour réparasyon" rencontre le public et les médias à 9h à l'école Lucien Laroche, au Bourg de la ville du Robert.
Composé d'ouvriers agricoles contaminés dans les champs de bananes notamment par les pesticides tel que la chlordécone entre 1970 et 1990, ces derniers sont des centaines à réclamer aujourd'hui réparation via des indemnisations, tandis que d'autres sont décédés.
Yvon Cérélus, ex ouvrier agricole et porte-parole du groupe, "on ne peut laisser de tels agissements impunis".
Yvon Cérélus du collectif "doubout pou réparasyon"
David Macaire, l’archevêque de Saint-Pierre et Fort-de-France en Martinique, a d'ailleurs rencontré ses membres récemment, pour mieux comprendre leur réalité et leurs motivations.
Le collectif "doubout pour réparasyon" rencontre le public et les médias à 9h à l'école Lucien Laroche, au Bourg de la ville du Robert.