Le collectif "Chum douvan douvan" mène une campagne pour faire comprendre à la population qu'elle doit se mobiliser pour sauver l'hôpital. La campagne trouve peu d'écho pour l'instant, mais les acteurs du collectif changent de méthode.
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La bataille pour sauver l'hôpital public en Martinique est difficile car la population n'a pas encore compris que sa mobilisation est indispensable. Elle ne réagit pas aux appels répétés des acteurs du collectif "Chum douvan douvan", composé notamment de médecins et de syndicalistes.
Les acteurs de "Chum douvan douvan", réunis mercredi (28 mars 2018) à l'hôpital du Carbet, ont organisé un débat diffusé en direct sur Radio Fréquence Caraïbe, sur "la catastrophe sanitaire qui se déroule au CHUM" (Centre Hospitalier Universitaire de Martinique), disent-ils.
"Nous constatons que les alertes que nous prodiguons, sont extrêmement limitées parce que les gens ne s'intéressent à la situation de l'hôpital que le jour où ils sont hospitalisés", constate Jean-Luc Fanon, le président du collectif.
Le collectif change de méthode
Les acteurs de "Chum douvan douvan", réunis mercredi (28 mars 2018) à l'hôpital du Carbet, ont organisé un débat diffusé en direct sur Radio Fréquence Caraïbe, sur "la catastrophe sanitaire qui se déroule au CHUM" (Centre Hospitalier Universitaire de Martinique), disent-ils.
"Nous constatons que les alertes que nous prodiguons, sont extrêmement limitées parce que les gens ne s'intéressent à la situation de l'hôpital que le jour où ils sont hospitalisés", constate Jean-Luc Fanon, le président du collectif.