Au lendemain de la 216e fête de son indépendance, la violence fait rage en Haïti. En Martinique comme en Guadeloupe, la communauté haïtienne est très inquiète à cause de ce climat insurrectionnel qui règne actuellement à Port-au-Prince.
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Le 1er janvier 2020, Haïti célébrait le 216e anniversaire de son indépendance, une commémoration marquée dans la capitale par l’organisation d’une grande soupe populaire et collective (la soupe Joumon). Mais le pouvoir toujours contesté, ne parvient pas à juguler la poussée de la violence qui gangrène toujours le pays.
Dans la capitale en particulier (Port-au-Prince), des témoins parlent de meurtres, de viols et de tortures perpétrés par des gangs armés, ce qui préoccupe considérablement les ressortissants installés aux Antilles. Qui est derrière cette escalade de violence et dans quel intérêt ? Ces exilés haïtiens s’interrogent.
Exemple en Guadeloupe, avec ce reportage signé Nadine Fadel et Ludovic Gaydu
Le 12 janvier 2020, marquera le 10e anniversaire du séisme qui a frappé Haïti en 2010. En quelques secondes, la moitié de la capitale a été détruite lors de cette catastrophe naturelle qui a fait plus de de 250 000 morts, et un million d'habitants ont été déplacés. Ce souvenir douloureux pour tous les haïtiens vient s’ajouter à la crise que vit le territoire depuis plusieurs mois.
Dans la capitale en particulier (Port-au-Prince), des témoins parlent de meurtres, de viols et de tortures perpétrés par des gangs armés, ce qui préoccupe considérablement les ressortissants installés aux Antilles. Qui est derrière cette escalade de violence et dans quel intérêt ? Ces exilés haïtiens s’interrogent.
Exemple en Guadeloupe, avec ce reportage signé Nadine Fadel et Ludovic Gaydu
Inquiétude des haïtiens installés aux Antilles