17e jour de conflit à la CFTU et pas l'ombre d'une solution dans l'immédiat. Cette situation exaspère quelques personnes dont le président de l'association Contact Entreprises. "Ceci ne peut plus durer"! écrit-il dans une lettre publique.
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Le conflit entre la Companie Foyalaise de Transports Urbain (CFTU) et des sous-traitants qui dénoncent le caractère prétendument irrégulier d'une passation de marchés, a commencé dès le lendemain du lundi de pâques (3 avril).
Depuis 17 jours, la compagnie qui assure le transport public sur le territoire de la CACEM (Fort-de-France, Lamentin, Saint-Joseph et Schoelcher), ne fonctionne plus à cause d'une blocage devant le dépôt des bus. "Certains ont décidé de prendre en otage la population qui utilise ce réseau de transport pour faire triompher leur point de vue dans un conflit avec les autorités organisatrices de ce service public", s'indigne Emmanuel de Reynal, président de l'association Contact Entreprises.
"Ce sont évidemment toutes les personnes qui sont totalement dépendantes de ce transport pour aller travailler, se soigner et étudier qui sont victimes de cette situation et donc les plus faibles d’entre nous. Nous constatons par ailleurs que de très nombreuses entreprises, Fort-de-France, Lamentin, Saint-Joseph et Schoelcher sont maintenant gravement impactées par ce mouvement Ceci ne peut plus durer"!
L'association patronale demande aux personnes concernées dans ce conflit "de consacrer tous leurs efforts à la recherche d’une solution pérenne". "Cette culture de la prise d’otage systématique de secteurs vitaux pour le fonctionnement de notre société en cas de conflit social détruit nos forces vives et doit être clairement combattue.
La fin ne peut justifier les moyens".
Depuis 17 jours, la compagnie qui assure le transport public sur le territoire de la CACEM (Fort-de-France, Lamentin, Saint-Joseph et Schoelcher), ne fonctionne plus à cause d'une blocage devant le dépôt des bus. "Certains ont décidé de prendre en otage la population qui utilise ce réseau de transport pour faire triompher leur point de vue dans un conflit avec les autorités organisatrices de ce service public", s'indigne Emmanuel de Reynal, président de l'association Contact Entreprises.
Les entreprises seraient de plus en plus impactées
"Ce sont évidemment toutes les personnes qui sont totalement dépendantes de ce transport pour aller travailler, se soigner et étudier qui sont victimes de cette situation et donc les plus faibles d’entre nous. Nous constatons par ailleurs que de très nombreuses entreprises, Fort-de-France, Lamentin, Saint-Joseph et Schoelcher sont maintenant gravement impactées par ce mouvement Ceci ne peut plus durer"!
L'association patronale demande aux personnes concernées dans ce conflit "de consacrer tous leurs efforts à la recherche d’une solution pérenne". "Cette culture de la prise d’otage systématique de secteurs vitaux pour le fonctionnement de notre société en cas de conflit social détruit nos forces vives et doit être clairement combattue.
La fin ne peut justifier les moyens".