Il n'y a toujours pas d'accord entre la direction et les syndicats de la CFTU après 13 jours de conflit. Une lettre de la direction a mis le feu aux poudres. il précise aux salariés, que les abandons de poste pourraient entraîner une suspension de leur rémunération et des mesures disciplinaires.
Le ton est monté d'un cran ce jeudi matin (22 novembre) au siège de la CFTU à Fort-de-France. Alors qu'une issue semblait se dessiner dans le conflit des chauffeurs de bus et du Tcsp, un courrier de la direction a mis le feu aux poudres.
Il a été précisé par écrit aux salariés que les abandons de poste pourraient entraîner la suspension de leur rémunération et des mesures disciplinaires.
Dans ce contexte de négociations et de recherches de solutions de fin de conflit, cette lettre a refroidi les relations entre les deux parties qui jouent les prolongations.
(Re)voir le reportage de Jannick Dulio et de William Zébina dans notre journal de 13 heures (22 novembre 2018).
Il a été précisé par écrit aux salariés que les abandons de poste pourraient entraîner la suspension de leur rémunération et des mesures disciplinaires.
Dans ce contexte de négociations et de recherches de solutions de fin de conflit, cette lettre a refroidi les relations entre les deux parties qui jouent les prolongations.
(Re)voir le reportage de Jannick Dulio et de William Zébina dans notre journal de 13 heures (22 novembre 2018).