La sélection de Martinique est au pied mur. Elle doit s’imposer face à Curaçao dès demain soir et décrocher une place en finale de la coupe des Nations de la Caraïbe. Une compétition qu’elle n’a pas remportée depuis 1993.
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Jamais deux sans trois selon le dicton ! Deux phases finales ont été perdues par la Martinique. En 1994 au stade Georges Gratiant (Lamentin), en finale face à Trinidad et en 2010 au stade Pierre Aliker (Fort-de-France), en phase de groupe. La ligue de football de Martinique espère vaincre le signe indien.
Les dirigeants du football local font confiance à la sélection qui vient d'effectuer un stage à Marie-Galante, ponctué par une victoire contre une sélection de l'île (2-0). Le groupe est solide et sa cohésion constitue un point fort. Les professionnels tels que Kévin OIympa, actuellement sans club, les défenseurs Antoine Jean-Baptiste Chasselay (CFA), Jean-Sylvain Babin (Gijon en Espagne), Jordy Delem (Seattle aux USA), les attaquants Steeven Langil (Beveren en Belgique), Johan Audel (Beitar Jérusalem en Israël), sont des habitués qui ont fait la campagne de qualification. Anthony Angély Poitiers (CFA ),Dominique Pandor (CA Bastia CFA), complètent une sélection ou le défenseur Kamil Louis Jean (USR Guadeloupe) est nouveau.
La Martinique est à ossature professionnelle mais cette fois sans le polyvalent Julien Faubert que son club finlandais Turku a refusé de libérer. Les autres places sont occupées par Sébastien Crétinoir, l'incontournable capitaine, les demis Stephane Abaul, Jean-Manuel Nédra, Daniel Hérelle et le buteur Kévin Parsemain. Jean-Marc Civault, le sélectionneur, alignera une équipe offensive et pas calculatrice face à Curaçao qui se présente avec au moins 8 professionnels, tous aguerris aux championnats hollandais et anglais.
Le public martiniquais a un rôle important à jouer jeudi soir (22 juin 2017), face à Curaçao, un outsider aux dents très longues. Attention à cette équipe qui peut déjouer les pronostics favorables à la Martinique. Les supporters martiniquais doivent encourager les sélectionnés et non les critiquer quand ils sont dominés ou menés. Il ne faudra pas que le triste spectacle de 2010 se renouvelle avec une sélection tétanisée. Des spectateurs avaient sifflé et insulté les joueurs martiniquais, battus par les cubains et les trinidadiens en phase de groupe.
Le prestige de la Martinique est en jeu à l'occasion de cette phase finale de la coupe des Nations de la Caraïbe. Cela passe par une victoire sur Curaçao jeudi 22 juin (20 heures), pour ensuite battre le vainqueur de Jamaïque-Guyane dimanche 25 juin (20 heures).
Les dirigeants du football local font confiance à la sélection qui vient d'effectuer un stage à Marie-Galante, ponctué par une victoire contre une sélection de l'île (2-0). Le groupe est solide et sa cohésion constitue un point fort. Les professionnels tels que Kévin OIympa, actuellement sans club, les défenseurs Antoine Jean-Baptiste Chasselay (CFA), Jean-Sylvain Babin (Gijon en Espagne), Jordy Delem (Seattle aux USA), les attaquants Steeven Langil (Beveren en Belgique), Johan Audel (Beitar Jérusalem en Israël), sont des habitués qui ont fait la campagne de qualification. Anthony Angély Poitiers (CFA ),Dominique Pandor (CA Bastia CFA), complètent une sélection ou le défenseur Kamil Louis Jean (USR Guadeloupe) est nouveau.
La sélection compte sur son public
La Martinique est à ossature professionnelle mais cette fois sans le polyvalent Julien Faubert que son club finlandais Turku a refusé de libérer. Les autres places sont occupées par Sébastien Crétinoir, l'incontournable capitaine, les demis Stephane Abaul, Jean-Manuel Nédra, Daniel Hérelle et le buteur Kévin Parsemain. Jean-Marc Civault, le sélectionneur, alignera une équipe offensive et pas calculatrice face à Curaçao qui se présente avec au moins 8 professionnels, tous aguerris aux championnats hollandais et anglais.
Le public martiniquais a un rôle important à jouer jeudi soir (22 juin 2017), face à Curaçao, un outsider aux dents très longues. Attention à cette équipe qui peut déjouer les pronostics favorables à la Martinique. Les supporters martiniquais doivent encourager les sélectionnés et non les critiquer quand ils sont dominés ou menés. Il ne faudra pas que le triste spectacle de 2010 se renouvelle avec une sélection tétanisée. Des spectateurs avaient sifflé et insulté les joueurs martiniquais, battus par les cubains et les trinidadiens en phase de groupe.
Le prestige de la Martinique est en jeu à l'occasion de cette phase finale de la coupe des Nations de la Caraïbe. Cela passe par une victoire sur Curaçao jeudi 22 juin (20 heures), pour ensuite battre le vainqueur de Jamaïque-Guyane dimanche 25 juin (20 heures).