Les compagnies aériennes régionales assurant les vols entre la Martinique et la Guadeloupe vont à compter du vendredi 4 septembre 2020, procéder à un contrôle de température des passagers. Une diminution d’environ 30 % du trafic inter-îles est également envisagée.
La Covid-19 affecte de plein fouet le transport aérien régional. Des mesures sanitaires appuyées continuent d’accompagner le fonctionnement des aéroports de Guadeloupe et de Martinique.
L’augmentation depuis la fin du mois de juillet du nombre de cas positifs aux Antilles a abouti le 28 août dernier à l’inscription de la Martinique, de la Guadeloupe, de Saint-Martin et de Saint-Barthélémy dans la liste des zones de circulation active du virus.
Afin de limiter le risque de transfert de cas positifs entre ces quatre îles, qui constituaient jusqu’à présent un espace de libre circulation, le préfet de la Martinique et le préfet de la Guadeloupe ont demandé aux compagnies aériennes d’assurer à compter du vendredi 4 septembre 2020, un contrôle avant embarquement de la température des passagers pour les vols entre la Martinique et la Guadeloupe.
Par ailleurs, le risque de propagation sera également contenu grâce à la diminution d’environ 30 % du trafic inter-îles à partir du mois de septembre dont l’évolution sera contrôlée par la direction de la sécurité de l’aviation civile Antilles- Guyane.
L’augmentation depuis la fin du mois de juillet du nombre de cas positifs aux Antilles a abouti le 28 août dernier à l’inscription de la Martinique, de la Guadeloupe, de Saint-Martin et de Saint-Barthélémy dans la liste des zones de circulation active du virus.
Afin de limiter le risque de transfert de cas positifs entre ces quatre îles, qui constituaient jusqu’à présent un espace de libre circulation, le préfet de la Martinique et le préfet de la Guadeloupe ont demandé aux compagnies aériennes d’assurer à compter du vendredi 4 septembre 2020, un contrôle avant embarquement de la température des passagers pour les vols entre la Martinique et la Guadeloupe.
Par ailleurs, le risque de propagation sera également contenu grâce à la diminution d’environ 30 % du trafic inter-îles à partir du mois de septembre dont l’évolution sera contrôlée par la direction de la sécurité de l’aviation civile Antilles- Guyane.