Les planteurs de bananes et de cannes à sucre des régions les plus touchées (Lamentin, François) par les dernières inondations du 16 avril dernier, constatent aujourd'hui (jeudi 19), l'ampleur de la catastrophe.
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Marie-Flore s'apprêtait à récolter dix hectares de bananes, mais la crue d'une rivière en amont de son terrain à Petit Rivière au Lamentin, "a tout fichu par terre". Elle a constaté ce matin (jeudi 19 avril 2018), l'ampleur de la catastrophe. En moins de deux heures, un torrent a rasé sa plantation. "On n'a pas encore bien évalué mais je pense que nous avons des pertes autour de 50 000 euros (...) J'ai subi deux cyclones les années précédentes, et voilà maintenant les intempéries de lundi dernier (16 avril 2018). Je ne sais pas quoi faire", avoue l'agricultrice.
Plus loin sur une plantation de cannes à sucre à Trianon au François, un raz-de-marée a couché les plantes au sol. Il est impossible de conduire la "récolteuse" (engin de ramassage de la canne), car les champs sont remplis de débris de végétaux voire de carcasses de véhicules.
Reportage Delphine Bez et Eddy Bellerose
Plus loin sur une plantation de cannes à sucre à Trianon au François, un raz-de-marée a couché les plantes au sol. Il est impossible de conduire la "récolteuse" (engin de ramassage de la canne), car les champs sont remplis de débris de végétaux voire de carcasses de véhicules.
Reportage Delphine Bez et Eddy Bellerose
La canne et la banane ont souffert des dernières inondations en Martinique
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