Trois à cinq fois par semaine, des courses sauvages perturbent la tranquillité des riverains de la RN1 au Lamentin. Ils sont totalement à bout.
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Sur leurs carnets, les policiers notent soigneusement l'immatriculation du véhicule qui passe à toute vitesse. Son propriétaire sera verbalisé et recevra chez lui une contravention. Sur la RN1, au Lamentin, trois à quatre fois par semaine, des tirages perturbent la tranquillité des différents quartiers : moteurs survitaminés, bruits d'échappement, musique. La route est, depuis des années, le lieu de rencontre privilégié des fans de vitesse.
Cette situation exaspère les riverains. "C'est l'enfer", dit l'un d'entre eux. Aujourd'hui, ils se sentent délaissés par les autorités. "Nous sommes très remontés. Nous avons écrit au Préfet. Nous avons été reçus par la mairie du Lamentin. Le dossier est en cours. Nous avons été reçus à la Région. Mais nous ne voyons rien se faire".
Regardez le reportage de Sangha Fagour et Marc-François Calmo :
Cette situation exaspère les riverains. "C'est l'enfer", dit l'un d'entre eux. Aujourd'hui, ils se sentent délaissés par les autorités. "Nous sommes très remontés. Nous avons écrit au Préfet. Nous avons été reçus par la mairie du Lamentin. Le dossier est en cours. Nous avons été reçus à la Région. Mais nous ne voyons rien se faire".
Regardez le reportage de Sangha Fagour et Marc-François Calmo :
Trois à cinq fois par semaine, des courses sauvages perturbent la tranquillité des riverains de la RN1 au Lamentin. Ils sont totalement à bout.
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![Violences urbaines en Martinique : "Il y a à peu près 250 procédures ouvertes par la police et pas loin de 400 par la gendarmerie", [Clarisse Taron]](https://la1ere.francetvinfo.fr/image/ww39d15454SzmgpzS8_SGa6fCIQ/126x84/filters:format(webp)/outremer/2022/09/27/633250ee7524b_clarisse-taron-procureure.jpg)
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