L'opération "Déposez les armes" a été prolongée de deux semaines. les autorités ont fixé une nouvelle période qui se termine le 15 avril 2019, délai supplémentaire pour déposer votre arme sans crainte de poursuite de la justice.
Depuis le 11 février 2019, l'opération "Déposez les armes" a permis à des dizaines de citoyens de se débarrasser de leur arme avant qu’elle ne tombe dans de mauvaises mains ou d’être tentés de s’en servir. Il reste deux semaines pour déposer les armes sans crainte de poursuite de la justice.
Les particuliers sont invités à remettre leurs armes à la police ou à la gendarmerie avec la garantie qu’aucune sanction administrative ou judiciaire ne sera prise à leur encontre pour détention d’arme illégale, en accord avec le procureur de la république.
Les services de police ou de gendarmerie réceptionneront l’arme, dresseront un procès-verbal ou inviteront le particulier à renseigner un formulaire d’abandon d’arme (Cerfa n° 11845*02). Il s’agit là d’une formalité. Aucune procédure ne sera engagée. L’État prendra en charge la destruction des armes réceptionnées.
Jusqu'au 15 avril 2019
L'opération "Déposez les armes", s'inscrit dans le cadre de la politique de lutte contre la circulation des armes. L'édition 2019 a été lancée le 11 février dernier, par Franck Robine, préfet de la Martinique et Renaud Gaudeul, procureur de la République.
Les services de police et de gendarmerie, chargés de récupérer ces armes enregistrent encore des demandes de dépôt alors que la campagne prend fin. Les autorités ont pris la décision de prolonger l'opération jusqu'au 15 avril 2019.Comment déposer les armes ?
Les particuliers sont invités à remettre leurs armes à la police ou à la gendarmerie avec la garantie qu’aucune sanction administrative ou judiciaire ne sera prise à leur encontre pour détention d’arme illégale, en accord avec le procureur de la république.
Les services de police ou de gendarmerie réceptionneront l’arme, dresseront un procès-verbal ou inviteront le particulier à renseigner un formulaire d’abandon d’arme (Cerfa n° 11845*02). Il s’agit là d’une formalité. Aucune procédure ne sera engagée. L’État prendra en charge la destruction des armes réceptionnées.