La Dominique n'est pas prête à affronter un cyclone. Le passage en septembre 2017 de l’ouragan Maria a dévasté le pays. La reconstruction des infrastructures n’est pas terminée. Des maisons sont encore recouvertes de bâches. La nouvelle saison cyclonique a déjà débuté.
À la Dominique, la population prie pour que les ouragans évitent l’île. Le pays est encore vulnérable. La reconstruction après le passage en 2017 de l’ouragan Maria, est loin d’être terminée.
Des communes sont toujours privées d’électricité. Beaucoup de maisons dont les toits ont été arrachés par l’ouragan sont recouvertes de bâches bleues. Les infrastructures routières n’ont pas été complètement réparées. Le coût des dégâts s'élève à 800 millions d’euros.
Il a été impossible, en l’espace d’un an, pour le gouvernement de la Dominique de réaliser sa promesse de construire un pays capable de résister au changement climatique. Les secteurs économiques comme le tourisme et l’agriculture ont été fortement touchés. Les forêts prendront des années à repousser.
Avant le passage de l’ouragan Maria, le marché de bien-être était en pleine expansion. Les producteurs d’huile, de noix de coco vierge, du moringa, des thés et des savons naturels attiraient une clientèle passionnée par ces produits naturels, fabriqués à la Dominique.
L’ouragan Maria a tout détruit. Certains fabricants de produits de bien-être ont redémarré. D’autres ont dû abandonner leur entreprise.
(Re)voir le magazine Caraibe ''La Dominique, l’île de bien-être avant et après Maria'' réalisé par Martinique la 1ère : Caroline Popovic, Fabienne Léonce et Marc-François Calmo
Une reconstruction sur le long terme
Des communes sont toujours privées d’électricité. Beaucoup de maisons dont les toits ont été arrachés par l’ouragan sont recouvertes de bâches bleues. Les infrastructures routières n’ont pas été complètement réparées. Le coût des dégâts s'élève à 800 millions d’euros.
Il a été impossible, en l’espace d’un an, pour le gouvernement de la Dominique de réaliser sa promesse de construire un pays capable de résister au changement climatique. Les secteurs économiques comme le tourisme et l’agriculture ont été fortement touchés. Les forêts prendront des années à repousser.
Le marché de bien-être anéanti
Avant le passage de l’ouragan Maria, le marché de bien-être était en pleine expansion. Les producteurs d’huile, de noix de coco vierge, du moringa, des thés et des savons naturels attiraient une clientèle passionnée par ces produits naturels, fabriqués à la Dominique.
L’ouragan Maria a tout détruit. Certains fabricants de produits de bien-être ont redémarré. D’autres ont dû abandonner leur entreprise.
(Re)voir le magazine Caraibe ''La Dominique, l’île de bien-être avant et après Maria'' réalisé par Martinique la 1ère : Caroline Popovic, Fabienne Léonce et Marc-François Calmo
/outremer/2024/08/16/whatsapp-image-2024-08-16-at-14-23-29-66bfa85381880727196224.jpeg)
/outremer/2023/11/17/066-dppi-40023078-008-6557234fc6785494508680.jpg)
/outremer/2020/07/01/5efc3fc8ccc2b_5d94b8d13fab0_vigilance-jaune-1141534-1415030.jpg)
