Les habitants de Grand Bahama s’apprêtent à passer une deuxième nuit dans la tourmente de l’ouragan Dorian. Depuis des heures, le cyclone n’avance plus et continue à pulvériser les îles du nord de l’archipel bahamien.
La population de Grand Bahama, une petite île de 1.400 km/2 vit un enfer. À 17 heures, dimanche 1er septembre 2019, Dorian, un ouragan de catégorie 5 a frappé l'île. Plus de 24 heures plus tard, Grand Bahama se trouve encore dans l’œil du cyclone, qui a été rétrogradé en catégorie 4. La tempête fait du surplace.
Selon les météorologistes, la dévastation de Grand Bahama va se poursuivre cette nuit et toute la journée du mardi 3 septembre 2019. La destruction sera extrême.
Le calme revient lentement à Abaco, la première île frappée par l’ouragan Dorian. Les secours peuvent enfin sortir. Dans une conférence de presse, le premier ministre Hubert Minnis a confirmé les décès de 5 personnes durant le cyclone, parmi elles, un petit garçon âgé de 8 ans, qui s'est noyé lors de la montée des eaux.
Selon les météorologistes, la dévastation de Grand Bahama va se poursuivre cette nuit et toute la journée du mardi 3 septembre 2019. La destruction sera extrême.
hhDéjà, la moitié de l'île est submergée. La mer est montée jusqu’à 6 mètres or le point le plus élevé de Grand Bahama est à 12 mètres. Les maisons sont inondées. Les sinistrés sont piégés. Les secours ne peuvent pas se déplacer car les routes sont bloquées et les conditions trop dangereuses. Les abris d’urgence ne résistent plus à la montée des eaux. Des centaines d’appels de détresse ont été enregistrés par les autorités.Minister of Agriculture and Marco City MP Michael Pintard, who lives on Grand Bahama, showing some utterly frightening footage of his home during the passage of Hurricane Dorian. pic.twitter.com/gugVsLMroB
— Travis C-Carroll (@TravisCC) September 2, 2019
Les premières victimes recensées sur Abaco
Le calme revient lentement à Abaco, la première île frappée par l’ouragan Dorian. Les secours peuvent enfin sortir. Dans une conférence de presse, le premier ministre Hubert Minnis a confirmé les décès de 5 personnes durant le cyclone, parmi elles, un petit garçon âgé de 8 ans, qui s'est noyé lors de la montée des eaux.