C'est une dure réalité pour les deux candidats aux élections municipales partielles de Basse-Pointe. Il faut mener campagne dans un contexte de carnaval. Mais les réseaux sociaux et les médias sont des atouts pour tenter de convaincre. Entretien exclusif avec les deux têtes de liste.
Les deux têtes de liste pour le scrutin du 10 mars (premier tour) n'ont pas une minute à perdre. La campagne officielle a débuté lundi 25 février et s'achèvera le 9 mars au soir.
Marie-Thérèse Casimirius, la maire sortante et cheffe de file de la Dynamique Pointoise a choisi une politique de quadrillage du terrain et estime pouvoir s'appuyer sur le bilan de ses premières années de mandature. Elle se dit confiante en estimant avoir déjà fait bouger les choses. Elle appelle à un peu plus de maturité dans les affaires politiques du territoire et de Basse-Pointe.
Quant à ce qui se passe sur le terrain, elle déplore la tonalité de la campagne menée par ses adversaires, notamment, dit-elle, "ces attaques contre Véronique Surena", sa cheffe de cabinet. "Des attaques parce qu’elle n'est pas de la commune", selon Madame Casimirius.
Pour Patrick Mariello, il répète inlassablement que ce scrutin est une occasion unique de ramener la paix sociale dans la commune. Trop de divisions sont apparues à cause d'une mauvaise politique de son adversaire, notamment dans le tissu associatif.
La tête de liste d'Ensemble pour réussir Basse-Pointe s'est fixée comme autre priorité de casser une spirale qui conduit des Pointois à délaisser leur ville au profit de ses voisines lorrinoise et bouillonnaise.
Il y a un point sur lequel les deux candidats sont au moins d'accord. Mener campagne dans le contexte des jours gras ne sera pas chose aisée. Il faudra se montrer particulièrement ingénieux pour faire entendre la parole électorale entre les parades, les sorties nocturnes, et le temps nécessaire de la récupération, les matins des jours du vidé.
Deux candidats, deux regards sur Basse-Pointe
Marie-Thérèse Casimirius, la maire sortante et cheffe de file de la Dynamique Pointoise a choisi une politique de quadrillage du terrain et estime pouvoir s'appuyer sur le bilan de ses premières années de mandature. Elle se dit confiante en estimant avoir déjà fait bouger les choses. Elle appelle à un peu plus de maturité dans les affaires politiques du territoire et de Basse-Pointe.
Quant à ce qui se passe sur le terrain, elle déplore la tonalité de la campagne menée par ses adversaires, notamment, dit-elle, "ces attaques contre Véronique Surena", sa cheffe de cabinet. "Des attaques parce qu’elle n'est pas de la commune", selon Madame Casimirius.
L'opposition veut ramener la paix sociale à Basse-Pointe
Pour Patrick Mariello, il répète inlassablement que ce scrutin est une occasion unique de ramener la paix sociale dans la commune. Trop de divisions sont apparues à cause d'une mauvaise politique de son adversaire, notamment dans le tissu associatif.
La tête de liste d'Ensemble pour réussir Basse-Pointe s'est fixée comme autre priorité de casser une spirale qui conduit des Pointois à délaisser leur ville au profit de ses voisines lorrinoise et bouillonnaise.