À six mois des élections territoriales de mars 2021, les candidats à la candidature ne sont pas encore tous connus. Il reste à savoir lesquels seront capables de proposer un projet innovant pour sortir de la crise sanitaire.
L’économie avant toute autre considération. Sans aucun doute, l’architecture des projets des candidats aux élections territoriales sera bâtie sur leur vision de redémarrage de notre production économique. Ce sujet constitue la préoccupation majeure de chacun d’entre nous, des autorités et des corps intermédiaires.
Comment la Martinique doit elle se préparer à absorber le choc du ralentissement de la vie sociale ? N’est-il pas temps de penser notre développement en mobilisant davantage nos ressources ? Sommes-nous obligés de ne miser que sur la banane et le tourisme comme sources de richesse ?
Autant de sujets de débats et de controverses à venir. En général, un épisode critique permet de se renforcer. Il en est des phénomènes naturels comme des faits sociaux. Partant de ce principe, il semble évident que notre tissu productif se renforcera, que le dialogue social deviendra la norme dans les entreprises, que celles-ci modifieront leurs méthodes et leur organisation dans un sens plus humain et plus efficace.
Les formations politiques pensent, bien entendu, à ces scénarios de sortie de crise et à l’élaboration d’un nouveau cadre de développement. Nos leaders, de tous bords, savent bien que la Martinique ne peut pas se permettre de rater le virage de la modernisation économique.
Bien entendu, ils sont persuadés que la création d’emplois, de richesses, de savoir-faire et de progrès passe par l’expansion du numérique, de l’agriculture nourricière, des ressources maritimes, du tourisme raisonné, ou encore de la construction des infrastructures qui nous manquent.
Les candidats à la direction de la Collectivité Territoriale de Martinique seront contraints d’imaginer des solutions innovantes aux nombreuses problématiques auxquelles nous sommes astreints, dans tous les domaines. Le projet de société que chaque liste devra porter sera inspiré par l’expérience acquise dans la gestion des collectivités, mais aussi par une conception du monde.
Le monde qui sera nécessairement différent après cette pandémie qui n’en finit pas. Ce qui vaut pour nous vaut pour la planète entière. Nos responsables politiques, qu’ils soient aux affaires ou en attente de l’être, devront rassurer et innover en même temps. Il reste à déterminer lesquels seront les plus convaincants pour être en capacité de permettre à la Martinique de se débarrasser de ses archaïsmes et de s’insérer enfin dans le 21e siècle.
Comment la Martinique doit elle se préparer à absorber le choc du ralentissement de la vie sociale ? N’est-il pas temps de penser notre développement en mobilisant davantage nos ressources ? Sommes-nous obligés de ne miser que sur la banane et le tourisme comme sources de richesse ?
Autant de sujets de débats et de controverses à venir. En général, un épisode critique permet de se renforcer. Il en est des phénomènes naturels comme des faits sociaux. Partant de ce principe, il semble évident que notre tissu productif se renforcera, que le dialogue social deviendra la norme dans les entreprises, que celles-ci modifieront leurs méthodes et leur organisation dans un sens plus humain et plus efficace.
Les dirigeants politiques pensent tous à un projet de société
Les formations politiques pensent, bien entendu, à ces scénarios de sortie de crise et à l’élaboration d’un nouveau cadre de développement. Nos leaders, de tous bords, savent bien que la Martinique ne peut pas se permettre de rater le virage de la modernisation économique.
Bien entendu, ils sont persuadés que la création d’emplois, de richesses, de savoir-faire et de progrès passe par l’expansion du numérique, de l’agriculture nourricière, des ressources maritimes, du tourisme raisonné, ou encore de la construction des infrastructures qui nous manquent.
Les candidats à la direction de la Collectivité Territoriale de Martinique seront contraints d’imaginer des solutions innovantes aux nombreuses problématiques auxquelles nous sommes astreints, dans tous les domaines. Le projet de société que chaque liste devra porter sera inspiré par l’expérience acquise dans la gestion des collectivités, mais aussi par une conception du monde.
Le monde qui sera nécessairement différent après cette pandémie qui n’en finit pas. Ce qui vaut pour nous vaut pour la planète entière. Nos responsables politiques, qu’ils soient aux affaires ou en attente de l’être, devront rassurer et innover en même temps. Il reste à déterminer lesquels seront les plus convaincants pour être en capacité de permettre à la Martinique de se débarrasser de ses archaïsmes et de s’insérer enfin dans le 21e siècle.