Ce dimanche (7 juillet 2019), la fusillade du Marin prend une autre tournure. Le jeune homme blessé à la tête par des tirs samedi après-midi (6 juillet 2019), à la cité Garifuna n’a pas survécu. Il était âgé de 21 ans.
•
Un autre jeune avec qui la victime se trouvait a lui été atteint au thorax. Il est hospitalisé à Fort-de-France.
C’est la thèse du règlement de compte qui est privilégiée. Selon des témoins, c’est un homme arrivé et reparti à bord d’une voiture qui a fait feu. Cet individu est toujours recherché à cette heure.
Dans cette cité Garifuna au Marin, on essaye presque de vaquer à ses occupations comme si rien ne s’était passé ce dimanche (7 juillet 2019). On voit peu de monde ou des familles quelquefois équipées pour des sorties et qui se pressent de quitter les alentours des bâtiments.
Pourtant les traces du drame sont encore bien visibles. Les marques de couleur jaune faites par les enquêteurs et aussi des traces de sang. Un fait qui interpelle et suscite des interrogations mais qui n’étonne pas certains habitants pour qui, ce qui a tout l’air d'un règlement de comptes, devait finir par arriver.
Pourtant sous l’impulsion de l’alliance sociale bien implantée dans le quartier, des progrès ont été réalisés pour pacifier l’endroit qui est une cité plutôt calme selon les quelques personnes qui ont bien voulu s'exprimer.
Dans les prochains jours, l’alliance sociale sera sur le terrain pour ne pas laisser ce drame perturber les esprits.
C’est la thèse du règlement de compte qui est privilégiée. Selon des témoins, c’est un homme arrivé et reparti à bord d’une voiture qui a fait feu. Cet individu est toujours recherché à cette heure.
L'alliance sociale sera sur le terrain pour ne pas laisser ce drame perturber les esprits
Dans cette cité Garifuna au Marin, on essaye presque de vaquer à ses occupations comme si rien ne s’était passé ce dimanche (7 juillet 2019). On voit peu de monde ou des familles quelquefois équipées pour des sorties et qui se pressent de quitter les alentours des bâtiments.
Pourtant les traces du drame sont encore bien visibles. Les marques de couleur jaune faites par les enquêteurs et aussi des traces de sang. Un fait qui interpelle et suscite des interrogations mais qui n’étonne pas certains habitants pour qui, ce qui a tout l’air d'un règlement de comptes, devait finir par arriver.
Pourtant sous l’impulsion de l’alliance sociale bien implantée dans le quartier, des progrès ont été réalisés pour pacifier l’endroit qui est une cité plutôt calme selon les quelques personnes qui ont bien voulu s'exprimer.
Dans les prochains jours, l’alliance sociale sera sur le terrain pour ne pas laisser ce drame perturber les esprits.