Après 34 jours d'arrêt de travail, les grévistes du Parc Naturel de Martinique veulent se faire entendre des élus de la CTM, réunis en séance plénière ce mardi, mais l'entrée de l'institution est interdite par un important dispositif de sécurité.
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Ce mardi matin (14 novembre 2017), les grévistes du Parc Naturel de Martinique sont réunis à l'appel de la CDMT sur une aire de stationnement à proximité du siège de la CTM à Fort-de-France. Ils veulent faire entendre leur malaise.
Après 34 jours de grève, c'est l'occasion d'interpeller les élus dans le cadre du conflit avec Louis Boutrin, le président du Parc Naturel de Martinique. "Misyè a diw kon sa, sé li ki mèt. Sé li ki ka ba moun travay. Sé li ki ka mété moun déwô" (Ce Monsieur rappelle que c'est lui le chef. C'est lui qui embauche. C'est lui qui licencie) s'insurge une gréviste.
(Re)voir le reportage de Stéphanie Octavie et Stéphane Petit-Frère.
Après 34 jours de grève, c'est l'occasion d'interpeller les élus dans le cadre du conflit avec Louis Boutrin, le président du Parc Naturel de Martinique. "Misyè a diw kon sa, sé li ki mèt. Sé li ki ka ba moun travay. Sé li ki ka mété moun déwô" (Ce Monsieur rappelle que c'est lui le chef. C'est lui qui embauche. C'est lui qui licencie) s'insurge une gréviste.
(Re)voir le reportage de Stéphanie Octavie et Stéphane Petit-Frère.
Les grévistes veulent se faire entendre pour exprimer leur malaise depuis l'arrivée de Louis Boutrin à la tête de l'organisme
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