De nombreuses fissures ont contraint une entreprise à déménager de ses locaux situés dans la zone d'Acajou au Lamentin. Une expertise est en cours afin d'en déterminer l'origine. De son côté l'association écologiste Assaupamar dénonce la construction dans une "zone fragile".
Sur le bâtiment fermé, une affiche de couleur jaune se veut rassurante, "durant les travaux, votre centre reste ouvert à 50 mètres". Effectivement, juste derrière, l'activité se poursuit dans des constructions modulaires. Un déménagement effectué en urgence le 1er août 2018 afin d'éviter toute rupture du service, selon la direction.
En cause, des fissures, visibles dès le parking. "Ce que l'on a à l'extérieur est beaucoup plus visible et plus important. Dans le bâtiment c'est quelques fissures. Mais ce sont quand même des choses qui ne sont pas normales dans une construction récente et c'est ce qui nous a poussé à agir et à prendre des mesures très rapidement", explique François Gallet de Saint Aurin, directeur de l'entreprise.
Selon la direction, le "bâtiment a moins d'une dizaine d'années et a présenté des défauts assez rapidement".
"Nous avons découvert il y a quelques mois des malfaçons sur notre bâtiment qui comprennent des fissures sur certains murs. Nous avons décidé de prendre les devants et demander à ce qu’une expertise soit faite pour comprendre leur origine et leurs conséquences éventuelles", poursuit-il.
Une procédure auprès d'experts judiciaire a été entamée par la direction, mais pour l'heure, aucune piste n'a été dévoilée quant à l'origine de ces fissures.
Sur sa page Facebook, l'association écologiste Assaupamar met en avant le "sol meuble et gorgé d'eau" sur lequel cette entreprise et ses voisines ont été construites. Selon la direction de l'entreprise, cette situation est provisoire. Un expert judiciaire et un juge devront trancher afin d’orienter la suite des évènements.
Un établissement provisoire
En cause, des fissures, visibles dès le parking. "Ce que l'on a à l'extérieur est beaucoup plus visible et plus important. Dans le bâtiment c'est quelques fissures. Mais ce sont quand même des choses qui ne sont pas normales dans une construction récente et c'est ce qui nous a poussé à agir et à prendre des mesures très rapidement", explique François Gallet de Saint Aurin, directeur de l'entreprise.
"Nous avons découvert il y a quelques mois des malfaçons sur notre bâtiment qui comprennent des fissures sur certains murs. Nous avons décidé de prendre les devants et demander à ce qu’une expertise soit faite pour comprendre leur origine et leurs conséquences éventuelles", poursuit-il.
Une procédure auprès d'experts judiciaire a été entamée par la direction, mais pour l'heure, aucune piste n'a été dévoilée quant à l'origine de ces fissures.
Une "zone fragile"
Sur sa page Facebook, l'association écologiste Assaupamar met en avant le "sol meuble et gorgé d'eau" sur lequel cette entreprise et ses voisines ont été construites. Selon la direction de l'entreprise, cette situation est provisoire. Un expert judiciaire et un juge devront trancher afin d’orienter la suite des évènements.