Une délégation du Parc Naturel de Martinique en présence du préfet, défend ce mardi 22 octobre 2019, l’inscription de la Martinique à l’UNESCO. La réunion se déroule à Paris, au Ministère de la Culture et de la communication.
Un combat de longue date que cette volonté d’inscrire la Martinique à l’UNESCO par le biais d’un de ses sites les plus marquants : "Volcans et forêts de la Montagne Pelée et des pitons du Nord de la Martinique".
Cette démarche qui s’inscrit dans le cadre d’un projet de développement socio-économique du territoire martiniquais, vise à renforcer l’attractivité du territoire en valorisant sa faune, sa flore mais aussi l’intérêt scientifique autour de ce site.
L’inscription au patrimoine de l’UNESCO serait à coup sûr un atout supplémentaire en terme de visibilité nationale et internationale. Mais aussi une reconnaissance de la biodiversité martiniquaise comme "Merveille du monde".
Les retombées en terme touristique sont aussi indéniables, avec un accroissement économique à prendre en compte. C’est aussi la fierté d’appartenir à une communauté internationale qui sauvegarde et valorise les biens d’importance universelle.
Les atouts de la candidature martiniquaise sont réels : le projet porté par notre île est un bien naturel. La Martinique est située dans une des zones prioritaires identifiées. La Montagne Pelée fait partie des sites manquants inscrits sur la liste du Patrimoine Mondial, et enfin selon une récente étude, notre territoire constituerait un hot spot en matière de biodiversité.
Les représentants du PNR et le préfet doivent convaincre ce mardi le comité des biens français du Patrimoine mondial. Si la candidature de la Martinique est retenue, une autre bataille s'annonce : la présentation devant les instances internationales de l'UNESCO en Janvier 2020.
Cette démarche qui s’inscrit dans le cadre d’un projet de développement socio-économique du territoire martiniquais, vise à renforcer l’attractivité du territoire en valorisant sa faune, sa flore mais aussi l’intérêt scientifique autour de ce site.
Un atout en terme de visibilité internationale
L’inscription au patrimoine de l’UNESCO serait à coup sûr un atout supplémentaire en terme de visibilité nationale et internationale. Mais aussi une reconnaissance de la biodiversité martiniquaise comme "Merveille du monde".
Les retombées en terme touristique sont aussi indéniables, avec un accroissement économique à prendre en compte. C’est aussi la fierté d’appartenir à une communauté internationale qui sauvegarde et valorise les biens d’importance universelle.
Un projet aux multiples atouts
Les atouts de la candidature martiniquaise sont réels : le projet porté par notre île est un bien naturel. La Martinique est située dans une des zones prioritaires identifiées. La Montagne Pelée fait partie des sites manquants inscrits sur la liste du Patrimoine Mondial, et enfin selon une récente étude, notre territoire constituerait un hot spot en matière de biodiversité.
Les représentants du PNR et le préfet doivent convaincre ce mardi le comité des biens français du Patrimoine mondial. Si la candidature de la Martinique est retenue, une autre bataille s'annonce : la présentation devant les instances internationales de l'UNESCO en Janvier 2020.