La firme de marketing Cambridge Analytica, est accusée d’avoir piraté les informations personnelles de 50 millions d’utilisateurs et les avoir utilisé à des fins d’ultra ciblage pour Trump aux États-Unis et pour la campagne en faveur du Brexit. Les internautes sont furieux.
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C’est incroyable comment la loi des séries peut s’imposer dans les faits parfois. Je vous racontais la dernière fois comment, on pouvait désormais vous trouver sur Facebook uniquement à partir de votre numéro de mobile.
Depuis quelques jours les choses se sont plutôt accélérées et altérées pour l’image de Facebook vis-à-vis de ses utilisateurs. La firme de marketing Cambridge Analytica, est accusée d’avoir piraté les informations personnelles de 50 millions d’utilisateurs et les avoir utilisé à des fins d’ultra ciblage pour la campagne présidentielle de Donald Trump aux États-Unis et pour la campagne en faveur du Brexit au Royaume-Uni.
Cette affaire met au grand jour les lacunes du réseau social planétaire. Comment cette entreprise qui possède tant d’informations sur la vie privée de ses utilisateurs et qui a bâti son empire sur leur confiance aveugle a pu passer à côté du principe fondamental de la protection de leurs données ?
Des prises de paroles de leaders d’opinion comme le cofondateur de Whatsapp ont enfoncé le clou. Du coup le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg a dû prendre la parole et faire ses excuses. Il plaide coupable, mais le mal est fait. Le plus grave, c’est que la fuite des données remonte à 2014 ce qui veut dire que Facebook était au courant, mais a occulté l’incident aux 50 millions d’utilisateurs concernés depuis.
Une crise qui vient altérer la confiance nécessaire pour le partage de ses données sur les réseaux sociaux. On nous aura prévenus ! Sur les réseaux sociaux si c’est gratuit, c’est nous le produit ! Un produit dont on aimerait bien maîtriser l’utilisation. À méditer...
Depuis quelques jours les choses se sont plutôt accélérées et altérées pour l’image de Facebook vis-à-vis de ses utilisateurs. La firme de marketing Cambridge Analytica, est accusée d’avoir piraté les informations personnelles de 50 millions d’utilisateurs et les avoir utilisé à des fins d’ultra ciblage pour la campagne présidentielle de Donald Trump aux États-Unis et pour la campagne en faveur du Brexit au Royaume-Uni.
Cette affaire met au grand jour les lacunes du réseau social planétaire. Comment cette entreprise qui possède tant d’informations sur la vie privée de ses utilisateurs et qui a bâti son empire sur leur confiance aveugle a pu passer à côté du principe fondamental de la protection de leurs données ?
Désormais, l’entreprise Facebook doit affronter une crise sans précèdent alors qu’elle souffrait déjà d’une désaffection de ses membres depuis quelque temps. En quelques heures le hashtag #Deletefacebook (efface Facebook en français), s’est répandu sur les réseaux sociaux pour inciter les utilisateurs à se désabonner."Sur les réseaux sociaux si c’est gratuit, c’est nous le produit !"
Des prises de paroles de leaders d’opinion comme le cofondateur de Whatsapp ont enfoncé le clou. Du coup le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg a dû prendre la parole et faire ses excuses. Il plaide coupable, mais le mal est fait. Le plus grave, c’est que la fuite des données remonte à 2014 ce qui veut dire que Facebook était au courant, mais a occulté l’incident aux 50 millions d’utilisateurs concernés depuis.
Une crise qui vient altérer la confiance nécessaire pour le partage de ses données sur les réseaux sociaux. On nous aura prévenus ! Sur les réseaux sociaux si c’est gratuit, c’est nous le produit ! Un produit dont on aimerait bien maîtriser l’utilisation. À méditer...