Depuis le 6 décembre 2017, les guichets de préfecture pour les demandes de cartes grises et de cessions de véhicules sont fermés. Ces démarches se font désormais en ligne sur un site officiel. Mais il semblerait que le système connaisse quelques ratés après deux mois.
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Faire sa carte grise en ligne, sur le papier c’est facile. Mais dans la pratique, parfois ça coince. En effet, deux mois après sa mise en place, le système connaît quelques ratés. Selon le site Caradisiac, la page de l’ANTS est parfois en souffrance.
Pourtant, avant l’ouverture au public le 6 décembre dernier, le dispositif avait été testé dans vingt départements. Mais cela n’a pas été suffisant pour gérer l’afflux des demandes aujourd’hui.
Il faut une bonne dose de patience, pour arriver au bout parce qu'un simple détail peut bloquer la procédure. Par exemple quand l'utilisateur note le numéro de sa plaque minéralogique, il faut impérativement qu'il pense à mettre des tirets pour séparer les chiffres et les lettres.
Pour une cession de véhicule, il ne faut pas oublier d’enregistrer le code remis par le vendeur.
En cas de difficulté deux solutions s’offrent à l'utilisateur. Passer par un professionnel ou se rendre en préfecture. En Martinique, des établissements privés entament les démarches à votre place. Mais ce service n’est pas gratuit bien sûr.
Par ailleurs, un point d’accueil numérique a été maintenu en préfecture. Sur place deux hôtesses vous accompagnent dans vos démarches en ligne. Mais malheureusement, il arrive qu’elles se retrouvent aussi en difficulté.
Par exemple pour une cession de véhicule, le simple fait que le nouveau propriétaire soit né en Nouvelle-Calédonie, bloque la procédure. Ce territoire français ne figure pas dans la liste proposée par la fiche. L'hôtesse a tenté de contacter le site de l’ANTS, mais après 10 minutes de conversation, aucune solution n'a pu être trouvée.
Finalement, après 30 bonnes minutes, une astuce va permettre de contourner cet obstacle et terminer cette démarche.
Pourtant, avant l’ouverture au public le 6 décembre dernier, le dispositif avait été testé dans vingt départements. Mais cela n’a pas été suffisant pour gérer l’afflux des demandes aujourd’hui.
Ralentissement, plantage et messages d’erreurs ne sont pas rares
Il faut une bonne dose de patience, pour arriver au bout parce qu'un simple détail peut bloquer la procédure. Par exemple quand l'utilisateur note le numéro de sa plaque minéralogique, il faut impérativement qu'il pense à mettre des tirets pour séparer les chiffres et les lettres.
Pour une cession de véhicule, il ne faut pas oublier d’enregistrer le code remis par le vendeur.
En cas de difficulté deux solutions s’offrent à l'utilisateur. Passer par un professionnel ou se rendre en préfecture. En Martinique, des établissements privés entament les démarches à votre place. Mais ce service n’est pas gratuit bien sûr.
Par ailleurs, un point d’accueil numérique a été maintenu en préfecture. Sur place deux hôtesses vous accompagnent dans vos démarches en ligne. Mais malheureusement, il arrive qu’elles se retrouvent aussi en difficulté.
Par exemple pour une cession de véhicule, le simple fait que le nouveau propriétaire soit né en Nouvelle-Calédonie, bloque la procédure. Ce territoire français ne figure pas dans la liste proposée par la fiche. L'hôtesse a tenté de contacter le site de l’ANTS, mais après 10 minutes de conversation, aucune solution n'a pu être trouvée.
Finalement, après 30 bonnes minutes, une astuce va permettre de contourner cet obstacle et terminer cette démarche.