Les dents creuses sont des parcelles en friche en plein centre-ville. Transformées en décharges sauvages ou en urinoirs, elles dégradent l'image de la ville. La municipalité accompagnée de l'État et de mécènes a lancé un programme de décoration de ces espaces abandonnés.
•
Actée en novembre dernier, la réhabilitation des espaces urbains abandonnés dits "dents creuses" est en cours de réalisation. Quatre parcelles ont d'ores et déjà changé d'allure.
Points noirs sur l'image de la ville, les dents creuses sont souvent transformées en décharge à ciel ouvert ou en urinoir. Aussi la ville de Fort-de-France dans le cadre du projet de Ville a décidé redonner une vie et de la valeur à ces espaces. Leur aménagement a été financé par dix mécènes dont la Sara, la fondation Robert Parfait ou Orange Caraïbes.
C'est Samuel, étudiant au Campus Caribéen des Arts, connu sous le nom de "None" qui s'est chargé de l'exécution artistique du projet. Le jeune artiste guadeloupéen a travaillé en étroite collaboration avec Dominique Bourrouet, directrice du service de l'aménagement et de l'architecture de la ville.
Le fruit de cette collaboration a été présenté jeudi (7 avril) à George Pau-Langevin, ministre des Outre-mer. L'État est en effet partie prenante de ce projet. À noter que 140 dents creuses ont été recensées au centre-ville et aux Terres Sainville. 13 d'entre elles sont pour l'instant concernées par le projet de ville.
(Re)voyez ce reportage de Fabienne Léonce et de Marc François Calmo :
- BNP
- Caisse des Dépôts
- Crédit Agricole
- EDF
- Orange Caraïbes
- la Sara
- Fondation Groupe Parfait
- Tilo
- Le Grand Port.
Points noirs sur l'image de la ville, les dents creuses sont souvent transformées en décharge à ciel ouvert ou en urinoir. Aussi la ville de Fort-de-France dans le cadre du projet de Ville a décidé redonner une vie et de la valeur à ces espaces. Leur aménagement a été financé par dix mécènes dont la Sara, la fondation Robert Parfait ou Orange Caraïbes.
Relancer l'attractivité de la ville basse
C'est Samuel, étudiant au Campus Caribéen des Arts, connu sous le nom de "None" qui s'est chargé de l'exécution artistique du projet. Le jeune artiste guadeloupéen a travaillé en étroite collaboration avec Dominique Bourrouet, directrice du service de l'aménagement et de l'architecture de la ville.
Le fruit de cette collaboration a été présenté jeudi (7 avril) à George Pau-Langevin, ministre des Outre-mer. L'État est en effet partie prenante de ce projet. À noter que 140 dents creuses ont été recensées au centre-ville et aux Terres Sainville. 13 d'entre elles sont pour l'instant concernées par le projet de ville.
(Re)voyez ce reportage de Fabienne Léonce et de Marc François Calmo :
Le lifting des friches urbaines rend la ville plus attractive pour les commerçants et les passants.
La liste des mécènes
- Al Bioma- BNP
- Caisse des Dépôts
- Crédit Agricole
- EDF
- Orange Caraïbes
- la Sara
- Fondation Groupe Parfait
- Tilo
- Le Grand Port.