Ce dimanche 25 novembre 2018 à 6 heures, se dispute la 34e édition du semi-marathon international de Fort-de-France sur 21,100 kilomètres.
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Cette année encore les anonymes prennent le départ de la 34e édition du semi-marathon de Fort-de-France, aux côtés d'athlètes régionaux ou internationaux confirmés d’Europe, d’Afrique, des Amériques et de la Caraïbe.
"Notre semi-marathon, et les épreuves adoptées au fil des ans, est un magnifique symbole des valeurs qui animent notre société martiniquaise. Le succès populaire en est la meilleure preuve. On vient au semi-marathon en famille, entre amis. On y guette les champions, mais on cherche aussi à y encourager des copains, des collègues", commente Didier Laguerre, le maire de Fort-de-France.
Chez les femmes, les organisateurs ont convié 4 représentantes de la Guadeloupe, 1 de Saint-Martin, 2 de France, 1 Trinidadienne, 1 de Costa Rica, 1 du Maroc, 1 franco-tunisienne, et surtout 3 athlètes du Kenya (Sarah Jerop Lagat, Agnès Keino et Mercyline Jeronoh).
Les invités sont moins nombreux chez les hommes, mais pas moins compétiteurs. 2 de Guadeloupe, 2 de France, 1 de Costa-Rica, 2 franco-marocains dont Khalil Lemicyeh, 2 coureurs du Kenya et 1 d'Éthiopie (Bechere Tura Kumbi).
Le label international FFA (Fédération Française d'Athlétisme), accordé au semi-marathon international de Fort-de-France est un véritable gage de qualité "qui atteste de nos atouts organisationnels. Nous respectons un cahier des charges répondant à des exigences précises", expliquent les organisateurs.
Le semi-marathon c'est plus de 200 bénévoles, plus de 8 000 litres de jus, plus de 12 000 litres d’eau, plus de 1 000 kilos d’oranges, plus de 10 500 bananes séchées et plus de 5 kilomètres de barrières Vauban.
Le parcours du semi est de 21,100 kilomètres autour de Fort-de-France. Départ et arrivée sur le Boulevard Alfassa (près du front de mer), pour plus de 1000 participants.
"Notre semi-marathon, et les épreuves adoptées au fil des ans, est un magnifique symbole des valeurs qui animent notre société martiniquaise. Le succès populaire en est la meilleure preuve. On vient au semi-marathon en famille, entre amis. On y guette les champions, mais on cherche aussi à y encourager des copains, des collègues", commente Didier Laguerre, le maire de Fort-de-France.
Des invités redoutables
Chez les femmes, les organisateurs ont convié 4 représentantes de la Guadeloupe, 1 de Saint-Martin, 2 de France, 1 Trinidadienne, 1 de Costa Rica, 1 du Maroc, 1 franco-tunisienne, et surtout 3 athlètes du Kenya (Sarah Jerop Lagat, Agnès Keino et Mercyline Jeronoh).
Les invités sont moins nombreux chez les hommes, mais pas moins compétiteurs. 2 de Guadeloupe, 2 de France, 1 de Costa-Rica, 2 franco-marocains dont Khalil Lemicyeh, 2 coureurs du Kenya et 1 d'Éthiopie (Bechere Tura Kumbi).
Une organisation exceptionnelle pour mériter le label international
Le label international FFA (Fédération Française d'Athlétisme), accordé au semi-marathon international de Fort-de-France est un véritable gage de qualité "qui atteste de nos atouts organisationnels. Nous respectons un cahier des charges répondant à des exigences précises", expliquent les organisateurs.
Le semi-marathon c'est plus de 200 bénévoles, plus de 8 000 litres de jus, plus de 12 000 litres d’eau, plus de 1 000 kilos d’oranges, plus de 10 500 bananes séchées et plus de 5 kilomètres de barrières Vauban.
Le parcours du semi est de 21,100 kilomètres autour de Fort-de-France. Départ et arrivée sur le Boulevard Alfassa (près du front de mer), pour plus de 1000 participants.