Le maire du François appelle les agents à reprendre le travail ce jeudi dans les 12 écoles de la ville

Nettoyage dans l'une des 12 écoles de la ville du François (septembre 2021).
Après une réunion avec le CHSCT sur le protocole sanitaire de rentrée, Samuel Tavernier estime que les éléments sont réunis "afin d'accueillir dans des conditions correctes, les petits franciscains".

Le maire du François, "appelle les agents municipaux à une reprise immédiate du travail" dans les 12 écoles de la ville ce jeudi 16 septembre 2021.

Après une réunion extraordinaire du CHSCT qui s'est tenue "à son initiative", le jeudi 9 septembre dernier pour discuter de l'application du protocole sanitaire dans les 12 écoles de la Ville, Samuel Tavernier considère que les conditions sont réunies "afin d'accueillir dans des conditions correctes, les petits franciscains".

Tous les points ont été adoptés à l'unanimité ou à la majorité, qu'il s'agisse des produits, des équipements ou vêtements de travail.

 

De plus, le grand nettoyage de rentrée s'est bien déroulé du 6 au 10 septembre, par ce même personnel en grève aujourd'hui.

 

Par ailleurs, les coordinatrices scolaires des 12 écoles sont unanimes à dire que le protocole sanitaire répond aux exigences des autorités.

(Samuel Tavernier)

Le maire du François, Samuel Tavernier, en discussion avec les membres du CHSCT (Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail) le 9 septembre 2021.

Dans un communiqué daté de ce jour, la ville souligne que "dans ces conditions, le maire ne peut accepter une nouvelle demande de réunion urgente du CHSCT sollicitée par les représentants du personnel, dont le seul point de l'ordre du jour est le report de la rentrée".

Non seulement la municipalité n'est pas compétente pour discuter de date de rentrée scolaire, mais de plus, ce point n'existe pas dans les textes relatifs à l'urgence.

 

De ce fait le maire demande instamment au personnel de prendre toutes ses dispositions pour une reprise du travail ce jeudi 16 septembre aux heures habituelles.

(Samuel Tavernier)