Les effets du confinement sur la nature sont incontestables

L'oiseau profite pleinement de la plage pendant le confinement des humains.
Moins de véhicules, donc moins de pollution et même la brume de sable habituellement dense à cette époque est plus légère. Et pendant ce temps, abeilles, oiseaux et libellules reprennent leurs aises...grâce au confinement.
En toute quiétude, les oiseaux profitent pleinement de la plage, du calme qui y règne, de la douceur des vagues et d’une petite brise.
Abeilles, oiseaux et libellules dansent partout et même dans les zones urbaines.

Les hommes occupent beaucoup moins l’espace et ce sont les animaux qui occupent cet espace. À Fort-de-France, par exemple et de façon générale dans toutes les agglomérations de Martinique, des citoyens disent voir des libellules ou des colibris. (...) Ce qu’ils avaient rarement l’occasion de voir sur leurs balcons depuis plusieurs années. (...) On sent bien que quelque chose est en train de changer.
(Pascal Saffache professeur des universités) 


Le temps est clair et lumineux, malgré un temps sec. La nature respire. Moins de pollution, moins d’émission de particules fines, la baisse des polluants est spectaculaire.
 

Pour l’oxyde d’azote qui est le polluant le plus représentatif de la circulation automobile, la baisse est de près de 90% en milieu urbain.
(Stéphane Gandar, directeur de Madininair)


Re(voir) le reportage de Fabienne Leonce et Eddy Bellerose.
Lundi 13 avril 2020, le chef de l'Etat, Emmanuel Macron, devrait annoncer une nouvelle prolongation du confinement, lors d'une intervention télévisée.