Le conflit entre les chauffeurs CSTM du réseau de transport Mozaïk et la Sotravom semble s’enliser un peu plus en ce début de semaine malgré les efforts de médiation.
Le dialogue a du mal à s’amorcer entre la CSTM et la direction de la Sotravom, d’autant qu'Antoine Rulle, le patron de la société sous-traitante du réseau des bus des villes du centre, refuse de s’asseoir face au secrétaire général de la centrale syndicale (Bertrand Cambusy). Ce weekend, Antoine Rulle a récusé l’un des deux médiateurs représentant le patronat, selon le chef de la CSTM? Du coup, la médiation engagée ces derniers jours est a priori compromise.
La médiation sociale repose sur le libre consentement des parties prenantes, quel que soit l’interlocuteur à l’origine de la demande.
À tout moment, il est possible pour l’une ou l’autre partie de revenir sur ce consentement.Le médiateur social exerce sa mission en toute indépendance par rapport aux acteurs qu’il rencontre, mais Il n’est investi d’aucun pouvoir de contrainte ni de sanction par une institution. Il n’a d’autorité que celle qui lui est conférée par les parties, en situation de médiation sociale.
Le désigné intervient auprès de l’un et l’autre des interlocuteurs, sans se substituer à aucun des deux.
Avant d’accepter la mission, et tout au long de son intervention, il s’assure de son extériorité vis-à-vis de la situation dont il est saisi.
Bien évidemment, ce médiateur s’attache à ne favoriser aucune des parties et doit s’assurer qu’il n’impose pas de solutions, mais qu’il aide, au contraire, les protagonistes à les trouver par eux-mêmes.
La médiation sociale se définie donc comme un processus de création et de réparation du lien social et de règlement des conflits de la vie quotidienne, dans lequel un tiers impartial et indépendant, tente à travers l’organisation d’échanges entre les personnes ou les institutions, de les aider à améliorer une relation, ou de régler un conflit qui les oppose.
Quel est le cadre déontologique de la médiation sociale ?
La médiation sociale repose sur le libre consentement des parties prenantes, quel que soit l’interlocuteur à l’origine de la demande.
À tout moment, il est possible pour l’une ou l’autre partie de revenir sur ce consentement.Le médiateur social exerce sa mission en toute indépendance par rapport aux acteurs qu’il rencontre, mais Il n’est investi d’aucun pouvoir de contrainte ni de sanction par une institution. Il n’a d’autorité que celle qui lui est conférée par les parties, en situation de médiation sociale.
Le désigné intervient auprès de l’un et l’autre des interlocuteurs, sans se substituer à aucun des deux.
Avant d’accepter la mission, et tout au long de son intervention, il s’assure de son extériorité vis-à-vis de la situation dont il est saisi.
Bien évidemment, ce médiateur s’attache à ne favoriser aucune des parties et doit s’assurer qu’il n’impose pas de solutions, mais qu’il aide, au contraire, les protagonistes à les trouver par eux-mêmes.
La médiation sociale se définie donc comme un processus de création et de réparation du lien social et de règlement des conflits de la vie quotidienne, dans lequel un tiers impartial et indépendant, tente à travers l’organisation d’échanges entre les personnes ou les institutions, de les aider à améliorer une relation, ou de régler un conflit qui les oppose.