Au huitième jour sans bus, la débrouillardise est d'usage pour les voyageurs du réseau Mozaïk. Entre longue attente pour un taxi, le covoiturage, la marche à pied ou encore le vélo, toutes les options sont utilisées pour combler le manque de bus.
Celui qui bloque a changé mais les dépôts de bus du réseau Mozaïk sont toujours désespérément entravés et aucun bus ne circule. Premières victimes, les usagers sont désormais obligés de trouver un plan B pour pouvoir se déplacer. Taxi collectif, stop, covoiturage ou encore la marche à pied, tous les moyens sont bons pour se déplacer.
(Re)voir le reportage de Bianca Careto et Marc-François Calmo.
Après huit jours de mobilisation, les anciens sous-traitants qui n'ont pas été retenus par le nouveau marché ne décolèrent pas et continuent de s'opposer à cette décision.
Ils ont tenu une conférence de presse lundi matin (9 avril) et à la question, qui bloque la sortie des bus Mosaïk ? La réponse de Michel Pognon, le représentant des sous-traitants laisse peu d'espoir aux usagers "aujourd'hui il y a un groupement, demain matin il y aura un autre groupement, et après il y aura un camionneur, et après un autre camionneur, on va rester comme ça pendant combien de temps ? Puisqu'ils s'entêtent, non on s'entête à démontrer qu'on a plusieurs cordes à notre arc", affirme-t-il.
La réunion avec le préfet n'a pas eu lieu, ce dernier dit avoir besoin de temps pour analyser ce conflit. Par ailleurs la CFTU n'aurait pas fourni les documents du récent marché en date du 1er avril dernier...
(Re)voir le reportage de Bianca Careto et Marc-François Calmo.
Ils ont tenu une conférence de presse lundi matin (9 avril) et à la question, qui bloque la sortie des bus Mosaïk ? La réponse de Michel Pognon, le représentant des sous-traitants laisse peu d'espoir aux usagers "aujourd'hui il y a un groupement, demain matin il y aura un autre groupement, et après il y aura un camionneur, et après un autre camionneur, on va rester comme ça pendant combien de temps ? Puisqu'ils s'entêtent, non on s'entête à démontrer qu'on a plusieurs cordes à notre arc", affirme-t-il.
La réunion avec le préfet n'a pas eu lieu, ce dernier dit avoir besoin de temps pour analyser ce conflit. Par ailleurs la CFTU n'aurait pas fourni les documents du récent marché en date du 1er avril dernier...