Le groupe Ho-Hio-Hen fait l'objet de bien des inquiétudes. Les chances de survie de la holding sont de plus en plus minces. La vente du centre commercial du Robert, il y a un an, n’a offert qu’un sursis à la société.
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Le groupe de supermarchés et hypermarchés est en danger. Il est criblé de dettes et les choses ne se passent pas comme prévues.
Le dossier de Bas-du-Fort, en Guadeloupe, est en stand-by, tandis que l’hyper de la Batelière cherche toujours un repreneur. Aucun acheteur ne s’est, pour l’instant, positionné, selon nos informations.
Une cession faciliterait pourtant les choses. Elle permettrait au groupe d'assurer l'approvisionnement de ses Ecomax. Multigros, le grossiste du groupe est églament en difficulté. Casino, qui fournit toutes les structures Antilles-Guyane, risque de bientôt arrêter les livraisons, à cause d’impayés.
Autre preuve des difficultés du groupe : le soutien depuis trois ans, du CIRI, Comité Interministériel de Restructuration Industrielle. Cette structure du ministère des Finances a pour mission d’aider les entreprises en souffrance à élaborer et mettre en œuvre des solutions.
Malheureusement pour le groupe, les résultats tardent à venir et pendant ce temps le trou se creuse dans sa trésorerie. La dette de la holding est estimée, en effet, à plusieurs millions d’euros. D’où l’obligation de tout vendre, ou presque. Ce qui permettrait aux salariés de garder leur emploi.
Le groupe compte 1 200 personnes aux Antilles-Guyane, dont 800 en Martinique…
Le dossier de Bas-du-Fort, en Guadeloupe, est en stand-by, tandis que l’hyper de la Batelière cherche toujours un repreneur. Aucun acheteur ne s’est, pour l’instant, positionné, selon nos informations.
Une cession faciliterait pourtant les choses. Elle permettrait au groupe d'assurer l'approvisionnement de ses Ecomax. Multigros, le grossiste du groupe est églament en difficulté. Casino, qui fournit toutes les structures Antilles-Guyane, risque de bientôt arrêter les livraisons, à cause d’impayés.
Autre preuve des difficultés du groupe : le soutien depuis trois ans, du CIRI, Comité Interministériel de Restructuration Industrielle. Cette structure du ministère des Finances a pour mission d’aider les entreprises en souffrance à élaborer et mettre en œuvre des solutions.
Malheureusement pour le groupe, les résultats tardent à venir et pendant ce temps le trou se creuse dans sa trésorerie. La dette de la holding est estimée, en effet, à plusieurs millions d’euros. D’où l’obligation de tout vendre, ou presque. Ce qui permettrait aux salariés de garder leur emploi.
Le groupe compte 1 200 personnes aux Antilles-Guyane, dont 800 en Martinique…