Le jeune humoriste martiniquais, Gilles Saint-Louis (GSL), estime avoir été mal reçu dans notre journal télévisé du 9 novembre dernier. Nous tenons à préciser qu'il s'agit là d'un malentendu et rappelons que les humoristes sont toujours les bienvenus sur Martinique 1ère.
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Le jeune humoriste Gilles Saint-Louis estime qu'il a été mal reçu lors de son passage dans notre journal télévisé du 9 novembre dernier. Il s'en est ému sur sa page Facebook.
Depuis le one man show de Jamel Debouzze dans le 20h de France 2 en janvier 2011, où il s'est promené sur le plateau et a offert une tasse de café à David Pujadas, on ne sait plus comment recevoir les humoristes dans nos journaux télévisés.
En avril 2012, invité dans l'édition du soir de Martinique Première, Anthony Kavanagh a mis de l'ambiance en se baladant lui aussi sur le plateau en direct et en introduisant le micro dans ses narines. Ce fut une belle pagaille à laquelle nous n'avons pas su vraiment réagir.
Alors, quand mercredi dernier (9 novembre 2016) GSL (Gilles Saint-Louis, invité du journal du soir, a demandé à faire "quelque chose" sur le plateau, blagues à l'appui, nous nous sommes dit qu'il fallait cette fois jouer le jeu. D'ailleurs dès le début de l'entretien, il a donné le ton en se promenant dans le décor et en regardant sous le siège.
"Que faire ? Lui poser des questions classiques ou improviser ? À partir du moment où nous jouons le jeu, nous le faisons jusqu'au bout, même si au final ça ne donne pas le résultat espéré, ni pour l'un ni pour l'autre. C'est ça la prise de risque et l'improvisation. D'accord pour pousser le présentateur dans ses retranchements, et vice versa", explique Serge Bilé.
"Enfin, ayant dépassé le temps prévu, la responsable d'édition en régie m'a dit à l'oreillette, comme elle le fait à chaque fois que nous sommes trop long : "Dis lui merci !" Ça veut dire qu'il faut s'arrêter. C'est ce que nous avons fait dans un contexte plus détendu que d'ordinaire, soulevant ici et là aujourd'hui des interprétations qui n'ont rien à voir avec la réalité". A aucun moment nous n'avons voulu dévaloriser ni manquer de respect à un jeune artiste pétri de talent. Nous tenons à rappeler que les humoristes sont toujours les bienvenus sur notre antenne et que nous tenterons à l'avenir de mieux s'adapter à leur intervention, quitte à dépareiller avec leur sketch en direct, en déroulant un entretien plus classique.
En avril 2012, invité dans l'édition du soir de Martinique Première, Anthony Kavanagh a mis de l'ambiance en se baladant lui aussi sur le plateau en direct et en introduisant le micro dans ses narines. Ce fut une belle pagaille à laquelle nous n'avons pas su vraiment réagir.
Alors, quand mercredi dernier (9 novembre 2016) GSL (Gilles Saint-Louis, invité du journal du soir, a demandé à faire "quelque chose" sur le plateau, blagues à l'appui, nous nous sommes dit qu'il fallait cette fois jouer le jeu. D'ailleurs dès le début de l'entretien, il a donné le ton en se promenant dans le décor et en regardant sous le siège.
"Que faire ? Lui poser des questions classiques ou improviser ? À partir du moment où nous jouons le jeu, nous le faisons jusqu'au bout, même si au final ça ne donne pas le résultat espéré, ni pour l'un ni pour l'autre. C'est ça la prise de risque et l'improvisation. D'accord pour pousser le présentateur dans ses retranchements, et vice versa", explique Serge Bilé.
"Enfin, ayant dépassé le temps prévu, la responsable d'édition en régie m'a dit à l'oreillette, comme elle le fait à chaque fois que nous sommes trop long : "Dis lui merci !" Ça veut dire qu'il faut s'arrêter. C'est ce que nous avons fait dans un contexte plus détendu que d'ordinaire, soulevant ici et là aujourd'hui des interprétations qui n'ont rien à voir avec la réalité". A aucun moment nous n'avons voulu dévaloriser ni manquer de respect à un jeune artiste pétri de talent. Nous tenons à rappeler que les humoristes sont toujours les bienvenus sur notre antenne et que nous tenterons à l'avenir de mieux s'adapter à leur intervention, quitte à dépareiller avec leur sketch en direct, en déroulant un entretien plus classique.