Hyppolite Cadou est né au Gros-Morne le 16 août 1909. Cinquième d’une fratrie de 7 enfants (3 filles et 4 garçons), il en est aujourd’hui le seul survivant. Le grand homme (qui a perdu la vue), est pensionnaire de l’EHPAD Henri Bourgeois, au Lamentin.
L’OMASS (Office des Missions d'Action Sociale et de Santé de la Ville du Lamentin) et l’EHPAD Henri Bourgeois abritent régulièrement des pensionnaires centenaires, en revanche, c’est la première fois que l’établissement compte dans ses rangs un doyen de la Martinique.
Hyppolite Cadou surnommé « itéza », a commencé sa vie professionnelle à l’âge de 18 ans, comme apprenti distillateur à la distillerie Saint-Etienne du Gros-Morne, puis il a travaillé dans la mécanique et terminé sa carrière en tant qu’ouvrier agricole.
Hyppolite Cadou a été marié à une joséphine et n’a pas eu d’enfant. Il a vécu de longues années à Saint-Joseph après le décès de son épouse des suites d’une longue maladie. Devenu veuf, il a décidé d’aller vivre chez son frère à Rivière-Salée, puis retour dans sa ville natale pour cohabiter avec sa nièce durant plus d’une dizaine d’années.
Et c’est à l’âge de 91 ans qu’il a fini par intégrer une maison de retraite, en l’occurrence la résidence Henri Bourgeois de l’OMASS du Lamentin (le 30 Mars 2000).
Hyppolite Cadou s’est très vite adapté à son nouvel environnement. Auparavant, l’homme a été très impliqué au sein de sa paroisse du Gros-Morne. Il était d’ailleurs membre de toutes les confréries de l’église. Il affiche une très grande ferveur spirituelle et marche toujours avec son chapelet.
"Il ne déjeune jamais avant de recevoir la Sainte Eucharistie" affirme son entourage. Mais c’est surtout un homme de caractère, qui aime la solitude, du haut de ses 110 ans.
La ville du Lamentin et ses services sociaux rendent hommage au doyen des martiniquais, ce vendredi 16 août 2019 à 15h, à l’EHPAD Henri Bourgeois au Lamentin.
Hyppolite Cadou surnommé « itéza », a commencé sa vie professionnelle à l’âge de 18 ans, comme apprenti distillateur à la distillerie Saint-Etienne du Gros-Morne, puis il a travaillé dans la mécanique et terminé sa carrière en tant qu’ouvrier agricole.
Hyppolite Cadou est en maison de retraite depuis l'an 2000
Hyppolite Cadou a été marié à une joséphine et n’a pas eu d’enfant. Il a vécu de longues années à Saint-Joseph après le décès de son épouse des suites d’une longue maladie. Devenu veuf, il a décidé d’aller vivre chez son frère à Rivière-Salée, puis retour dans sa ville natale pour cohabiter avec sa nièce durant plus d’une dizaine d’années.
Et c’est à l’âge de 91 ans qu’il a fini par intégrer une maison de retraite, en l’occurrence la résidence Henri Bourgeois de l’OMASS du Lamentin (le 30 Mars 2000).
Hyppolite Cadou a été très engagé au sein de sa paroisse gromornaise
Hyppolite Cadou s’est très vite adapté à son nouvel environnement. Auparavant, l’homme a été très impliqué au sein de sa paroisse du Gros-Morne. Il était d’ailleurs membre de toutes les confréries de l’église. Il affiche une très grande ferveur spirituelle et marche toujours avec son chapelet.
"Il ne déjeune jamais avant de recevoir la Sainte Eucharistie" affirme son entourage. Mais c’est surtout un homme de caractère, qui aime la solitude, du haut de ses 110 ans.
La ville du Lamentin et ses services sociaux rendent hommage au doyen des martiniquais, ce vendredi 16 août 2019 à 15h, à l’EHPAD Henri Bourgeois au Lamentin.