Le chanteur Charles Aznavour qui vient de disparaître à l'âge de 94 ans, était l'invité de prestige d'un bal populaire dans un espace musical à Fort-de-France en 1998. Un passage émouvant et exceptionnel selon les convives...
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"Hier encore", l’impressionnant Charles Aznavour parlait "d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître ". Il y a 20 ans, en visite dans notre pays Martinique, les responsables de l’époque de l’espace "Ti, Balcon" Christian Maxime et Marie Ange Ravin l’ont sollicité pour une rencontre avec ses fans.
il a fallu en moins de 48 heures, faire du bouche à oreille pour inviter ses fans.
(Re)voir notre reportage
Le tout en chansons...
"Et pourtant ", malgré une timidité, avec simplicité, il embrasa le public avec sa musique jouée par lui-même au piano accompagné par nos musiciens. Une élégance, une énergie puissante, une mélodie extraordinaire, un swing ravageur. Tout était "for me formidable".
"Il faut savoir", tous sont restés là, "les comédiens" les chanteurs, les invités "la mama" au "piano-bar", "avec un brin de nostalgie". Devant "un sacré piano" Aznavour s’est transcendé "comme ils disent". Un moment que le directeur gérant de l’espace patrimonial Christian Maxime n'as pas oublié. "C'était un moment fantastique", dit-il.
Il a parlé de son Arménie natale. "Inoubliable". "Sa route" a été longue, aujourd’hui il a vécu. Un titre qui a été repris en 1981 en reggae par la martiniquaise Jobby Valente. Seule artiste de la diaspora ayant reçu l’autorisation du grand Charles. La vie s’est arrêtée mais son œuvre est déjà éternelle.
il a fallu en moins de 48 heures, faire du bouche à oreille pour inviter ses fans.
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Le tout en chansons...
"Et pourtant ", malgré une timidité, avec simplicité, il embrasa le public avec sa musique jouée par lui-même au piano accompagné par nos musiciens. Une élégance, une énergie puissante, une mélodie extraordinaire, un swing ravageur. Tout était "for me formidable"."Il faut savoir", tous sont restés là, "les comédiens" les chanteurs, les invités "la mama" au "piano-bar", "avec un brin de nostalgie". Devant "un sacré piano" Aznavour s’est transcendé "comme ils disent". Un moment que le directeur gérant de l’espace patrimonial Christian Maxime n'as pas oublié. "C'était un moment fantastique", dit-il.
Il a parlé de son Arménie natale. "Inoubliable". "Sa route" a été longue, aujourd’hui il a vécu. Un titre qui a été repris en 1981 en reggae par la martiniquaise Jobby Valente. Seule artiste de la diaspora ayant reçu l’autorisation du grand Charles. La vie s’est arrêtée mais son œuvre est déjà éternelle.