Dans un communiqué du 10 décembre 2020, une nouvelle coalition de huit formations politiques annonce sa déclaration d’intention en vue des prochaines élections territoriales. L’Alliance va se substituer à Ensemble Pour une Martinique nouvelle.
Après Ensemble Pour une Martinique nouvelle, voici l’Alliance. Cette nouvelle coalition électorale a vocation à remplacer celle qui siège actuellement dans l’opposition à l’Assemblée de Martinique. Un tuilage entre les deux structures aura lieu le temps de la campagne électorale.
Puis l’Alliance deviendra le label des formations et personnalités regroupées sous la bannière du Parti progressiste martiniquais. Le PPM n’entend pas impulser seul cette dynamique qu’il présente comme nouvelle. Il est vrai qu’il est le principal mouvement implanté ailleurs que dans sa ville d’origine, en l’occurrence Fort-de-France.
Ce regroupement comprend également Bâtir le Pays Martinique de David Zobda, Dynamique trinitéenne de Frédéric Buval, le Mouvement démocratique joséphin de Simon Morin, le Mouvement populaire franciscain de Maurice Antiste, Osons oser de Jenny Dulys-Petit, Trois-Ilets nouvelle dynamique d’Arnaud René-Corail et Vivre à Schoelcher de Luc Clémenté.
L’Alliance n’a pas terminé son recrutement. Il est exclu qu’elle inclut les indépendantistes et leurs alliés actuels ainsi que la droite. Elle demeure ouverte à d’autres mouvements et personnalités qui ne se situent sur aucun de ces deux pôles de notre échiquier politique fragmenté.
Ses motivations sont essentiellement tournées vers la reconquête de la gouvernance de l’institution qui vit "une grave crise politique" alors même que nous accable la crise sanitaire. Son communiqué fondateur est clair à cet égard. "Les différentes crises qui s’accumulent, conjuguées à un manque inquiétant d’investissements et de projets, ont plongé la Martinique dans une dangereuse inertie" écrivent les signataires, visant la majorité actuelle de la Collectivité Territoriale de Martinique.
Dès lors, écrivent les membres fondateurs de cette nouvelle coalition : "(…) seul un projet partagé, démocratique, avec les forces vives du pays peut permettre de rétablir la confiance et fonder une espérance".
Les pourparlers se poursuivent dans l’objectif d’élargir la base actuelle de l’Alliance. Ses animateurs ne s’interdisent rien, du moment qu’un socle commun de valeurs et de principes est respecté par tous ceux qui souhaitent y adhérer. Au-delà de cette déclaration d’intention, il est patent que pour les élections territoriales, le PPM et certains de ses alliés se situent dans une dynamique du changement dans la continuité.
Puis l’Alliance deviendra le label des formations et personnalités regroupées sous la bannière du Parti progressiste martiniquais. Le PPM n’entend pas impulser seul cette dynamique qu’il présente comme nouvelle. Il est vrai qu’il est le principal mouvement implanté ailleurs que dans sa ville d’origine, en l’occurrence Fort-de-France.
Ce regroupement comprend également Bâtir le Pays Martinique de David Zobda, Dynamique trinitéenne de Frédéric Buval, le Mouvement démocratique joséphin de Simon Morin, le Mouvement populaire franciscain de Maurice Antiste, Osons oser de Jenny Dulys-Petit, Trois-Ilets nouvelle dynamique d’Arnaud René-Corail et Vivre à Schoelcher de Luc Clémenté.
L’Alliance n’a pas terminé son recrutement. Il est exclu qu’elle inclut les indépendantistes et leurs alliés actuels ainsi que la droite. Elle demeure ouverte à d’autres mouvements et personnalités qui ne se situent sur aucun de ces deux pôles de notre échiquier politique fragmenté.
Une coalition en remplace une autre
Ses motivations sont essentiellement tournées vers la reconquête de la gouvernance de l’institution qui vit "une grave crise politique" alors même que nous accable la crise sanitaire. Son communiqué fondateur est clair à cet égard. "Les différentes crises qui s’accumulent, conjuguées à un manque inquiétant d’investissements et de projets, ont plongé la Martinique dans une dangereuse inertie" écrivent les signataires, visant la majorité actuelle de la Collectivité Territoriale de Martinique.
Dès lors, écrivent les membres fondateurs de cette nouvelle coalition : "(…) seul un projet partagé, démocratique, avec les forces vives du pays peut permettre de rétablir la confiance et fonder une espérance".
Les pourparlers se poursuivent dans l’objectif d’élargir la base actuelle de l’Alliance. Ses animateurs ne s’interdisent rien, du moment qu’un socle commun de valeurs et de principes est respecté par tous ceux qui souhaitent y adhérer. Au-delà de cette déclaration d’intention, il est patent que pour les élections territoriales, le PPM et certains de ses alliés se situent dans une dynamique du changement dans la continuité.